« En toute chose, imite ton Dieu. Demande-Lui de se faire comprendre à toi davantage. » 1741

« Même sans attendre de récompense, sers-Moi pour la Joie de me servir. Etre la toute petite servante de mon CŒUR : l’Ancilla Domini. ». » 1755

« Priez pour moi afin que je puisse servir Dieu, comme Vous sur la terre. Tu te rappelles cette oraison ? Regarde bien en toi si c’est ainsi ? Il a donné la joie à tous ceux qu’il approchait. Et toi ? » 1758

« Ne crains donc rien et abandonne-toi souvent au savoir-faire de Celui qui t’habite parce qu’il t’aime. Ce qui te dépasse, Il s’en empare. Sans cesse, Il se mêle à toi. Tu es de Sa nature humaine. Tu es de Sa famille. Tu es de Sa descendance.» 1788

« N’est-ce pas que rien ne vaut vivre, sinon Me servir ? Je te donnerai encore tout ce qu’il te faut au cœur et dans l’intelligence. Sais-tu que c’est Moi qui te sers pour me servir ? » 1796

« Le principal, vois-tu, c’est que tu n’aies pas douté de l’amour quand même. C’est que tu aies dit : « Fiat. » C’est que tu te sois abandonnée à quoi qu’il puisse arriver. »  1799

« Faire plaisir, c’est faire le bien. Ne le marchande à personne, surtout à ceux qui t’auraient fait mal. Et pour t’unir à Moi, dis : « Je prie avec Ta prière. Je travaille avec Toi travaillant. Je parle avec ta parole. Mets-y toute ta tendresse. » 1223

 « Pourquoi marchanderais-tu les services à rendre à ton prochain ? Rappelle-toi que c’est Moi que tu sers en eux. Cela te donnera du courage. »  1697

« Comprends bien que si Je ne suis plus sur la terre, ton prochain est là et que tes désirs de M’aimer, de Me recevoir, de Me servir, de Me reposer peuvent se réaliser en la personne d’autrui. » 1274

« Ton amabilité qui loue Ma Bonté ne n’adresse pas uniquement au prochain, elle s’adresse à tout rapport que tu auras avec Dieu. On appelle Dieu ‘tout aimable’ et Il l’est » 1292

« Si tu ne prends pas de part au fardeau des autres, tu n’es pas digne d’avoir des frères » 1313

« Tu n’as pas souvent l’occasion de te jeter à l’eau pour sauver autrui. C’est dans les petites circonstances que tu dois te dévouer au prochain pour l’amour de Moi. Un petit geste. De l’affection. Et du charme. C’est l’intention que Je regarde toujours en toi. » 1316

« Rends-Moi des comptes sur ton amabilité, que chaque jour tu n’aies à présenter que des paroles exquises de charité. Des mots à faire plaisir » 1317

« Le meilleur, le plus beau, offre-le aux autres à cause de Moi. » 1317

« Quand tu te donnes aux autres, aie la pensée d’imitation de ton Grand Ami Mets dans tes rapports la plus fine délicatesse. Invente une manière nouvelle de faire plaisir, sans retour sur toi […]. N’est-ce pas facile quand on voit d’abord Moi dans le prochain ? » 1322

« Le prochain prend tant de place dans la vie et Je suis le prochain : quels torts aurais-tu de le traiter mal et de le dénigrer ? Quel bien tu peux lui faire avec pour ainsi dire ‘rien’: ta manière seulement. Pense à la manière de l’aborder, de lui répondre. Fais-tu comme s’il était Moi ? » 1341

« Tout ce que Je te donne, donne-le aux autres. Et Je t’enrichirai […]. Surtout, n’oublie pas ton sourire. […] C’est comme s’il disait Magnificat ! » 1378

« N’ai-Je pas toujours demandé la Charité ? L’entraide mutuelle ? La douceur humble du cœur qui réchauffe l’accueil. Si tu ne sais pas bien, prends Ma voix pour mieux charmer. Prends Ma main pour la tendre. Pense : c’est ainsi qu’Il ferait, qu’Il parlerait, qu’Il sourirait. » 1391

« Et ne nous sommes-nous pas l’Un dans l’autre ? Qu’il te plaise d’agir par Moi comme Il Me plaît d’agir par toi. » 1391

« Regarde-Moi comme on vise un but. Et recommence … recommence … recommence chaque jour avec patience, sans jamais compter sur toi. Tu sais ? Les petits qui veulent monter s’accrochent aux vêtements de leur maman. Prends Mes mérites. Prends Mes bras. Prends Mon CŒUR. » 1217

« Je suis Bon. Vois combien les enfants viennent facilement à Moi. Garde ton cœur enfant et viens. Comprends mieux Mon Amour. Donne-toi tout à Lui. Fais-Lui comme un autel qu’on garnit de fleurs et de lumières. » 1357

« Voyez en Moi le Dieu mais voyez en Moi l’homme. Approchez mieux. Quoi en Moi vous fait peur ? A-t ’on peur d’un tout petit enfant dans une crèche ?» 1258

« Ne perds pas de vue la voie de l’Enfance Spirituelle et épanouis ta confiance. » 1368

« Le petit JESUS de Noël peut tout comprendre. II approche. Garde-Lui un ravissement de joie. Cela Le remerciera. De ton cœur au Mien, il y a comme un trait, non pour séparer mais pour réunir », pour fondre. »  1378

« Sois le tout petit enfant bien confiant. Oh ! votre confiance, comme Nous l’aimons ! » 1280

« Avec les Rois, adore-Moi. Mets-y tout ton amour […] C’est ton Dieu que tu adores. Ton Unique, ton But. Mets-y donc toute ton âme et comme tu n’es rien, donne-toi au Tout. Tu te grandis quand tu t’abaisses devant Moi. » 1283

« Est-ce qu’on peut résister à la confiance totale d’un enfant ? Sois cette toute petite enfant. » 1323

« Pense que peu de chose t’empêche de Me voir. Sois dans l’émotion de Mon Regard posé sur toi. N’as-tu pas quelque chose à Me faire entendre ? Me donneras-tu la douceur de ton amour ?» 1324

« Considère la joie des Rois de l’Epiphanie. Ceux qui Me trouvent possèdent le plus grand bonheur que I’on puisse avoir sur Ia terre, mais il faut Me chercher, non pas une fois, deux fois, sans cesse. » 1345

« De crains donc pas. Demande. Souhaite et remercie l’Amour. Appelle-toi toi-même le petit enfant de Dieu. Cela te donnera un sentiment nouveau. » 1350

« Offre-toi sans cesse à l’Union et Mon action n’en sera que plus grande. » 1229

« Tu sais comme il récompense le moindre effort pour Lui. Fais donc tout pour ton Dieu. Il n’a pas d’exceptions : Il prend tout et toi-même en toute occasion. Ne crains pas de t’offrir dans Ia journée comme une suite à l’offrande du matin, et à deux Nous chanterons au Père la cantate d’Amour qu’il écoutera en connaisseur, quand même toi tu n’en percevrais pas les sons. Ne vise plus qu’à faire de l’Amour et tu auras atteint le but. Fais de l’amour de tout pour ton Amour : Moi. » 1234

« Donne-toi tout à Lui. Fais-Lui comme un autel qu’on garnit de fleurs et de lumières. Dis : « Mon Grand Ami, voilà un sacrifice d’amour. Voilà un silence d’amour. Voilà un sourire d’amour. Et que tout ce que tu fais soit une fête d’amour. » 1257

« Livre-toi à l’Amour, tu consoleras l’Amour. Entre dans l’arène des courageux, des forts. » 1257

« Tout me sera offert dans ton cœur et Je disposerai de tout. Tu seras ainsi Ma petite collaboratrice ; car, dans Ma vie, rien ne fut inutile : pas même un regard, pas même une pensée. Mon but : Mon Père et vous. » 1306

« Aide à Mon Règne. Pour cela, offre-Moi chacun de tes jours, chaque moment présent.» 1329

« Ne te plains pas. Va gaiement : c’est pour Moi. N’y a-t-il pas là grande raison d’être joyeuse. La seule raison. Bien sûr, tu ne peux le penser sans cesse, mais le matin : ‘Tout sera pour Toi, Mon Grand Ami’. Et de temps en temps, dans la journée, un petit : ‘C’est pour Toi’ qui réchauffera ton cœur et apaisera le Mien. » 1334

« Même tes respirations, offre-les-Moi. Non seulement celles du corps, mais le flux des pensées de ton âme. Cela n’a l’air de rien, mais C’est toute ta vie. Et toute ta vie M’appartient. » 1338

« Au travers de tes actions les plus ordinaires, unis-toi. A n’importe quel moment tu es Ma petite Fille. Ce jour, cette semaine, ce mois, est rempli de Mon Amour comme les autres mois et les autres années.
Je t’aime quand toi tu ne penses pas à M’aimer et Je te prépare des grâces que tu ne penses pas à demander : un regard, un geste vers Moi et Je te donnerai tout. » 1229

« Demande à saint Joseph comment te tenir en famille avec Moi. Remets-lui ta vie en Moi, et lui, si tendre, t’apprendra. Souviens-toi que tu es de la famille de Dieu. Lui t’aime infiniment. Essaie d’approcher plus fort. Ne serait-ce que par un soupir, un silence en Lui, un repos sur Son CŒUR : l’ambition de Mon Amour, te reposer. » 1301

« Souhaite t’établir dans la perfection, ce sera vivre dans Ma Demeure. » 1339

« Moi ! le Sensible ! Cherche-Moi, et ne Me laisse pas aller. Tiens-Moi fidèle et joyeuse compagnie. » 1351

« Quand on est sous le même toit, est-ce qu’on n’aime pas à n’avoir plus qu’une même vie ? Habite Mon CŒUR, tu veux bien essayer ? Puisque tu es invitée. » 1381

« S’il y a une maison où tu te sentes bien chez toi, que ce soit la Mienne, dans l‘église. » 1385

« Moi aussi j’ai confiance en toi. Tu es cependant bien peu ! Alors, toi, tu peux avoir confiance en Moi, l’Infini, le Puissant. »  1271

 « Prie, parle de Moi. Ne ressens aucune fausse honte à poser Mon Nom dans tes phrases. De Mon Nom prononcé tombent des grâces. » 1347

« Prends-Moi en n’importe quelle époque de Mon existence sur Ia terre, et sois là, bien près. II n’y a pas de temps pour Moi. Le crois-tu ? Alors tu auras été 1à, comme étaient les Apôtres. Et Moi ! Si heureux ! Ma Vie peut ainsi se prolonger, jusqu’à la fin de monde, dans Ia vie des cœurs. Veux-tu bien Me prêter ton cœur ? » 1352

« Un degré de plus d’amour, un degré de plus d’espérance et de foi, tu n’en es pas capable toute seule. Attends-le de Moi. Demande pour chaque jour, par l’intercession du Saint du jour. » 1355

« Ne te crois pas bonne toute seule. Ne te crois pas humble toute seule. C’est Ma Bonté, Mon Humilité qui t’inspirent. Et, qui Me ressemble plaît au Père. Tu te le rappelles : ‘Celui-ci est Mon Fils Bien Aimé’. Et chacun de vous est ‘Son’ fils bien-aimé quand il y a la ressemblance. » 1357

« Ce que tu n’arrives pas à obtenir de toi : la retenue de paroles, Ia pensée de Ma Présence, tu le trouverais plus facile en ayant l’assistance de Ma Mère. Demande son secours. C’est à Elle que J’avais Confié Madeleine et les saintes Femmes. Comme elles, ne La quitte pas. » 1293

« Appelle la Grâce. Impose un arrêt à ta précipitation instinctive. Ce sera le signe de ta soumission amoureuse, comme une petite enfant qui, avant d’agir, regarde sa mère pour obtenir son consentement. » 1297

« Tu sais que sur la terre, Notre tendresse, à Ma Mère et à Moi était si grande, que Nous n’avions qu’un seul Cœur. Essaie d’être ainsi dans une seule volonté avec ton Grand Ami. » 1334

« Quand tu te crois délaissée et dans l’oubli, Il est en ton centre, vivant, veillant, aimant […] ; répète-Lui : ‘Je sais que je ne sais rien de Vous. Mais j’ai foi et confiance !’ »1381

« Regarde tes fautes. Offre-les Moi pour que Je répare. Conviens de ta faiblesse, de tes échecs. Dis-Moi : ‘Aide-moi, mou Grand Ami. Tu sais bien que seule je ne puis rien, mais avec Toi, je peux tout’. Et reprends ta route, avec confiance en Moi. » 1227

« N’as-tu pas entendu l’hymne d’Amour qu’a été Ma Vie. Mon Père le sait. Les Saints du Ciel savent. Adore sans bien comprendre chacun de Mes mouvements d’Amour en Galilée, en Judée, sur ces routes que tu as toi-même parcourues. Déjà, Je t’aimais. J’aimais tous les hommes, sans exception. Aime-Moi pour eux, tu peux M’en offrir le désir. » 1245

« Si tu avais vu la joie de ceux que Je guérissais sur les routes de Judée !… Ils Me quittaient en chantant louange à Dieu. Toi chante, chaque jour, dans ton cœur joyeux et répands-Moi par la Joie. » 1251

« Expose-toi devant Moi. Étale ton âme pauvre, comme, en Judée, les malades à Mon passage. Raconte. Implore. L’Évangile dit : ‘Il les guérissait tous’. » 1252

« Approche-toi de Moi. Tu M’as cherché dans l’Évangile, tu M’as suivi dans Ma vie sur la terre, cherche-Moi davantage. Ce souci de Moi que vous pouvez avoir fait Ma joie. » 1288

« Je favorise l’âme qui veut, par sa beauté, réjouir Mes yeux. Qu’elle vienne vers Moi, qu’elle se couvre de Mes mérites. Qu’elle prenne Mon Amour pour M’aimer. Mon humilité, Ma Patience si douce et quand elle m’aura dérobé, elle Me dira : ‘Bien-Aimé, Vois, ma parure est riche et mon cœur est brûlant’… Je Me regarderai en elle comme dans un miroir, attiré par ses parfums d’humilité. » 1300

« Comme les Saintes Femmes qui vivaient de Mon temps et dont toutes les pensées convergeaient vers leur Christ, aime-Moi et tout sera fait, tout sera dit. Tu sais comment on aime ? On se tient toujours près du Bien-Aimé. » 1303

« Quand tu parcours les kilomètres, fais comme si tu allais chercher un pécheur pour Me le ramener. Unis-toi. Tu sais, quand Je Me rendais pendant la chaleur au puits, pour rencontrer la Samaritaine ? Unis-toi. Comme en toute chose et Je serai en toi. » 1307

« Que ne donnerais-Je pas à celui qui Me ramène un pécheur ? Oh ! Ia joie du Pasteur retrouvant son pauvre petit agneau ! Pour comprendre, il faudrait savoir Ia force de Mon amour. Demande-Moi souvent de comprendre davantage. » 1312

« Rappelle-toi Mes jours de labeurs, Mes nuits de prières, Mes charités, Mes pénitences. Viens avec Moi ! » 1312

« Considère dans l’Évangile toutes Mes délicatesses : de paroles et d’actions, avec Mes amis,
avec Mes pécheurs […] Vois-tu, il n’y avait pas que de la Bonté dans mes paroles, il y avait de l’amour. L’Amour ! Quelle magnificence… » 1322

« Prête-toi aux autres jusqu’à l‘extrême de tes forces, comme Je Me prêtais si charitablement. Oh ! Cette vie publique ! au milieu de tant de gens se pressant par intérêt. Je rencontrais peu souvent de l’amour. On venait à Moi par égoïsme. Et Moi, J’allais à chacun par tendresse. Imite-Moi. » 1334

« Pensez à votre Modèle, à votre Aîné qui a vécu tout simple pour que vous Le reproduisiez. J’ai été si simple qu’on ne M’a connu que pendant trois ans, avec une faible escorte de 72 disciples apôtres. Quelle vie courte, 33 années pour sauver tous les temps… L’Amour de Mon Père présidait toutes Mes actions. De même, enrichissez les vôtres et prenez Mon contact. Tout ce qui est à Moi est à vous. » 1337

« Pense que tu es toujours au début du chemin, tu es si petite, cherche Ma Main. Garde-la toujours sur ton cœur, il a besoin de force et de sagesse. Où t’adresser ? ‘Seigneur, à qui irions-nous ?’ Me disaient Mes Apôtres. Et toi, où irais-tu ? Oh ! Viens à Moi toujours et sans cesse. »  1339

« On M’apportait des malades, des infirmes. Ton amour pour Moi n’est-il pas à la fois malade et infirme ? […] Toi, crois à l’Amour et cela suffit. Je t’aiderai, demande-le-Moi. Tu vois, Je te dis comment faire. Je te souffle ton rôle. Parais sans crainte sur la scène de l’Amour : c’est Moi qui donnerai la réplique. » 1353

Le jour de la Transfiguration, je disais à JESUS : ‘Transfigure-Toi, Transfigure-Toi pour ma pauvre âme !

« Multiplie tes regards vers Moi, contemple plus souvent en aimant davantage. Tu Me verras sous des aspects nouveaux et infinis, t’aimant toujours. » 1256

« Tu vois ces toutes petites flaques d’eau refléter le ciel. Contemple Dieu dans la paix. Ne vois que Lui. Lui seul est digne de votre regard et tu Le refléteras. » 1260

« Tu peux Me regarder plus souvent si vraiment tu es sûre de Ma présence. Avec ton regard, j’aurai ton sourire. » 1285

« Me regarder comme le Bien-Aimé, tout est là ; car, alors, tout dans l’âme converge vers Moi. J’attire, tout d’elle. » 1305

« L’âme, qui par ses sacrifices et ses efforts tend à se rapprocher de Moi, acquiert comme une nouvelle ressemblance avec Moi. II en est qui ont tant imité le doux Visage du Christ, qu’ils ont paru au Ciel comme un autre Lui-même. Quelle gloire ils apportent avec eux ! […] Tiens-toi sous Mon regard. » 1346

« Comme une plante qui ne vit que de soleil, tu chercheras sans cesse Ma FACE. Oh I Le beau duo qui ne forme qu’une harmonie… Mon Père écoute… que toutes grâces Lui soient rendues. » 1856

« Il n’est pas nécessaire que Je sois exposé dans Mon Saint-Sacrement pour que tu croies en Ma Présence. Adresse-Moi ton amour à travers Ma porte. C’est Moi. Ton Epoux. Ton Sauveur. Ton plus tendre. » 1239

« Si tu pouvais voir Ma splendeur dans le Tabernacle… Ma Puissance et Ma Douceur…et la Cour d’honneur d’Amour que Me forment Mes Anges pleins de zèle ! » 1247

« Je suis là, Je t’attendais. Quand vous avez communié le matin, J’attends dans la journée votre petite visite de remerciements. » 1253

« Remercie-Moi de t’avoir si souvent nourrie et abreuvée… Que de tête-à-tête d’amour ! eue d’Hosties dans ton cœur ! Offre-Les Moi toutes comme une seule, pour Mes intentions. » 1262

« Que tes communions s’appliquent à Me demander de réparer ton passé. Je M’étends en vous, dans vos Communions, en chacune de vos facultés, en votre sang et vous répare selon votre souhait. Je continue d’être Votre Frère Sauveur. »1266

« Dans l’Hostie, Mon CŒUR est battant, comme II était sur Ia terre, comme Il est au Ciel. Il n’y a pas plusieurs cœurs de Christ. Il n’y en a qu’Un. Crois bien en Ma Présence, là, devant toi. Console-Moi en approchant ton cœur de Mon CŒUR » 1267

Tandis que j’avalais la Sainte Hostie. « Dis : « Voilà  Mon CŒUR qui descend en moi.’» 1304

Le jeudi saint, je pensais que j’étais venue devant le Saint-Sacrement deux fois le matin, deux fois l’après-midi et que j’allais revenir le soir. « Tout un jour à Moi, une fois par an, tu crois que c’est beaucoup ? Mon Eucharistie est tous les jours et toutes les nuits au milieu de vous. Je suis là, plein de tendresse, riche de grâces à donner. Alors, tout un jour de toi, dis-Moi que ce n’est pas long. Rappelle-toi Ia fête de Mon CŒUR. » 1308

« Peux-tu compter combien de fois Je Me suis donné tout entier ? Peux-tu savoir l’amour que J’y ai apporté ? Il faudrait connaître la nature divine. Remercie en Me regardant souvent : ce qui veut dire :’Pense à Moi’. » 1318

Un jeudi je dis à JESUS: merci, mon Seigneur, d’avoir inventé pour tous le sacrement de l’Eucharistie un jeudi d’autrefois. « Petite fille de la Sainte Trinité, Ma délicatesse infinie préparait depuis longtemps dans Mon CŒUR ce cadeau aux hommes. N’est-ce pas que c’est bien le cadeau d’un Dieu ? Que pouvais-Je donner de plus intime ? De plus riche ? De plus cher ? Sinon Moi-même ? » 1322

« Parfois tu envies ceux qui vivaient de Mon temps ; mais, ceux-là, à part les Apôtres, n’ont pas communié aussi souvent. Ils ne m’avaient pas comme toi, chaque matin au fond de leur cœur. Pense à ce bonheur, essaie de l’augmenter par tes désirs tendus, Ia nuit, quand tu te réveilles. » 1387

« Pour t’aider à te débarrasser d’un défaut, pense qu’il Me déplaît de le voir sur ton âme. » 1258

« Donne-Moi ton âme simplement le moment présent dans Mon Amour, et c’est tout. Chasse tracas, imaginations, complications. Donne-Moi ton âme simplement, à Moi le Simple. Crois-tu que Je n’ai pas été très simple dans Ma prière aux oliviers ? Puis, entre 1es mains des hommes jusqu’à la Croix ? » 1263

« Aide-Moi à sauver les pécheurs. Il y en a tant… Ne fut-ce pas 1à Ma plus grande douleur à Gethsémani ? Je les voyais tous à Ia fois. Je prenais leurs fautes comme Miennes, quelle honte ! … J’agonisais pour eux. » 1285

« Sois Ia consolation que les Anges Me présentaient à Gethsémani. Ma Consolation ? C’était que vous profiteriez de cette Agonie affreuse et de Mon Sang coulant à terre, que vous en prendriez la sève puissante. » 1301

« Tu ne feras jamais trop, dans le secret fleuri du jardin de ton âme amoureuse de ton Sauveur. Je suis le Maître du Jardin ? Je sais cueillir et respirer les senteurs profondes. Donne l’enivrement. Donne le repos. Comme si la torture du Jardin des oliviers s’interrompait, pour boire forces en ton amour délicat. Tu vois la puissance que vous avez sur Ma sensibilité. » 1307

« Si Je sens ton zèle pour les pécheurs, J’oublie les angoisses des oliviers. Si tu Me donnes l’amour de ton cœur, J’oublie la haine, la cupidité de Judas. » 1309

« Quand tu t’aperçois d’une faute, pleure-la sur Mon CŒUR, non avec les larmes de tes yeux, avec les tristesses de ton âme. Tu trouveras là des forces pour mieux faire. » 1341

« Tu es le fruit de Mes Sueurs de Gethsémani, tu es comme la réponse et Mon Père te regarde. » 1345

« Rappelle-toi Mon Agonie. J’avais trois compagnons, le sommeil Me les a pris. […] Toi, sois-Moi fidèle : cherche à Me consoler. […] J’attends des prières  pour opérer des conversions et modifier les esprits. » 1354

« Approche-toi de Ia nuit que J’ai passée du jeudi au vendredi, souffrant pour toi à chaque heure et sans un instant de sommeil : l’heure du jardin, de la trahison, des coups, de Ia haine […]. J’ai remercié Mon Père de votre Rédemption enfin toute proche. Offre-Moi. Pense aux péchés que les ténèbres favorisent. Demande pardon. » 1397

« L’Amour ? Tu le trouves partout en Moi : dans les Plaies de Mes pieds, dans les Plaies de Mes mains, dans la Plaie de Mon CŒUR. Et dans toutes les Plaies de Ma flagellation… et celles qu’on ne voyait pas : les invisibles Plaies que Me causaient les péchés des hommes de tous les temps. Toutes ces Plaies brûlaient par l’amour d’un Dieu, dont chaque mouvement est adorable et parfait. » 1232

« Si tu prends dans ton esprit plein de compassion Ma misère de ver, Mes laideurs de lépreux, Mes infamies de flagellé, Mes hontes de condamné, Mes affres de crucifié, tout s’éloigne de Moi et Je Me donne à toi qui M’appelles. » 1309

« Même l’étude de Mes douleurs qui te peinent ne sont-elles pas une douceur puisqu’elles te prouvent mon amour ? Tu as de Ia difficulté à croire à un tel amour. Pourtant, rends-toi ! Dis-toi : C’est vrai, je crois que si j’avais été seule à sauver, Tu aurais voulu souffrir et mourir ainsi. » 1312

« Pleurez vos fautes, l’une après l’autre, devant Moi. Regardez Mes yeux qui les ont pleurées avant vous. Unissez votre douleur à Ma Douleur. » 1343

« Tant de choses de toi sont indignes de Moi ! Deviens petite en y pensant. Cache toutes tes laideurs dans Mon CŒUR Tu sais qu’II est un hôpital. » 1347

« Souviens-toi des incommensurables souffrances du CŒUR de ton Dieu, connues d’avance par Lui, une par une, acceptées d’avance, souffertes d’avance. Plonge-toi souvent, appuyée sur Son CŒUR, dans ces considérations. Ne crois-tu pas que cela rallumera ton pauvre amour ? » 1353

« Humilie-toi. Tu es sur Mon CŒUR. Ah ! si l’on savait Ia puissance de l’humilité !… Rappelle-toi qu’en enfer, il y a des vierges, mais II n’y a pas d’humbles. » 1267

« Humilie-toi. Avec Moi, as-tu peur de t’humilier ? Puisque Je sais ton âme. Mais J’aime que tu Me la dises en considérant ta faiblesse. Moi Je suis le Fort. Ne désires-tu pas Me la confier ? Considère tes incapacités, tes courtes persévérances… A qui irais-tu demander le remède ? Sinon à ton Sauveur. » 1301

« Le pire, vois-tu, après tant de souffrances, c’est d’être méconnu, oublié par tant de cœurs glacés. Mon CŒUR n’est que fournaise de zèle d’amour pour vous, de dévouements. Combien peu y songent et s’adressent à Lui ! Implore-Moi. » 1312

« Remercie-Moi d’une petite épreuve comme d’une fleur que ton Fiancé dépose sur ton cœur avec une nouvelle tendresse. Ne te trouve-t-Il pas plus jolie quand tu souffres avec une douce patience unie à sa Patience ? Est-ce que ton âme ne prend pas alors comme un nouveau visage qui décoche sur Lui ses traits ? » 1326

« Je puis te sanctifier en un instant. Mais J’aime ton lent et patient travail qui te tient dans humilité. Acquiers l’humilité amoureuse. Elle t’élèvera. Le découragement n’a jamais élevé une âme. » 1328

« Donne-toi sans limites et Je te donnerai sans limites. N’est-ce pas meilleur ? Mais il faut que dans ton cœur tu consentes à n’être rien, à te considérer comme incapable de tout. Mais, sur Mon CŒUR, et croire à Mon immense Amour. » 1329

« Regarde Ma FACE ensanglantée comme Elle le fut : ensanglantée pour tes péchés. Et vois si tu peux ne pas commencer à M’aimer comme Je veux l’être, par-dessus tout. » 1341

« Regarde tes fautes. Offre-les Moi pour que je répare. Conviens de ta faiblesse, de tes échecs. Dis- Moi : ‘Aide-moi, mon Grand Ami. Tu sais bien que seule je ne puis rien, mais avec Toi je peux tout’. Et reprends la route, avec confiance en Moi, chaque jour. […] Prends un long courage. Ne M’en fallut-il pas en montant au Calvaire ? » 1227

« Prends ta croix sur ton épaule, et en route ! Près de Moi, toujours plus près de Moi. Chaque pensée vers Moi, c’est comme ton regard dans Mon Regard. » 1271

« Songe que J’ai expié tes défaillances en défaillant Moi-même sur le terrible chemin du Calvaire. Que cela t’encourage dans l’amour ! » 1292

« La lecture de la Passion ne suffit pas. Prends-la en toi. Où que tu sois, prends Mes souffrances. Ce sontdes souffrances désirées… voulues… attendues. C’est Mon Amour pour vous… pour toi. » 1314

« Vos croix sur vos tombes représentent la croix que chacun dut porter pendant sa vie. Elles complètent la Mienne : toujours, nous ne faisons qu’un. Je l’ai voulu ainsi. » 1317

« Marche. Marche. Je marchais sur le chemin du Calvaire et malgré tant de peine, Je suis arrivé. Regarde-Moi. Tu auras un courage nouveau. Et fais- Moi l’honneur de M’appeler à ton secours. » 1328

« Mes épaules ne sont pas encore assez chargées, elles réclament d’autres poids. Prends ta place : Je suis le Bon Pasteur. Nomme-Moi les âmes que tu voudrais M’amener. » 1330

« Offre-Moi toutes les croix de la terre, elles sont nombreuses en ce moment, et peu pensent à Me les présenter en expiation des fautes. » 1334

« Ta croix du jour, ta croix de nuit, serre-Ia sur ton cœur. Elle te vient de Moi. Elle n’est pas Une quelconque : c’est la tienne que J’ai voulue. Baise la Main qui te la donne. Doucement, continue ton chemin, avec elle, avec Moi. » 1380

« A force de porter sa croix, c’est elle qui nous porte. » 1395

« Loue Mon Amour. Remercie-Le. Ce ne sera jamais trop, car Il est Infini. » 1257

« Vous ne devinez pas assez le CŒUR de votre Sauveur. Faites-Lui l’honneur de Lui croire toutes les qualités d’Amour et de Miséricorde ; tous les charmes du pardon, dans l’abondance et sans retour. Je ne Me souviens plus des fautes quand Je les ai pardonnées. » 1264

« Offre-toi au Père enveloppé de Mes mérites. Implore l’amour de l’Esprit d’Amour et abandonne  toi sans retour comme au Golgotha. » 1274

« Rends-Moi ce que J’attends de toi. Reste sur Mon CŒUR. Ce n’est pas difficile de Me plaire, si vous saviez ! Je suis un tout petit Juge ligoté par l’Amour. » 1276

« Offre-le Moi cet amour de Madeleine. Car tout m’est présent et, par la communion des saints, il est à toi. […] Humilie-toi comme Madeleine s’est humiliée, dans Ia Foi et dans l’Amour. Redis-Moi souvent tes fautes dans le secret, déplore-les. Tu sais l’oreille de Mon CŒUR ? Tu sais ma façon d’écouter ? […] Comme Madeleine, sache être une femme nouvelle jusqu’au renoncement à tout. » 1325

« Donne-Moi des cœurs. Donne-Moi des âmes. J’ai toujours soif ! » 1334

« Aurais-tu pu penser, oser penser, 1a mort d’un Dieu pour sa créature et une telle mort! » 1348

« Rends hommage à ce Corps qui fut pour tes péchés un pauvre Corps blessé à mort. Prends-en soin. Repose-Le. Garde-Le près de toi, le jour et la nuit. Il a été traîné à terre comme un ver, Il a perdu Sa Beauté à cause de vous. Si tu l’avais vu ! à la descente de Croix, sur les genoux de Ma Mère… et le regard éteint. J’ai vécu l’heure dernière comme vous ? Unis bien déjà ta mort à la Mienne. » 1350

« Je ne vous laisse pas dans la misère, si vous Me l’exposez. Car J’ai souffert plus qu’aucun de vous, à cause de vous, et pour vous. Et Moi, J’ai besoin de vous donner. Venez prendre, entrez dans Ma Bonté. Demeure : C’est ta demeure. Aime Mon Amour.» 1366

« J’appelle… Qui Me répondra de la réponse que Je veux ? […] Tu es consacrée à Mon Amour. Prends la manière du Mien : la Miséricorde n’était-ce pas Ma nuance ? Ne dois-tu pas porter Mes couleurs ? » 1373

« Tu M’as demandé des torrents incessants de Foi, d’Espérance, de Charité : Il faut en faire
fréquemment l’exercice. Dis :

– Je crois en Toi, Amour chéri,
– J’espère en Toi, Amour Puissant,
– Je T’aime, Amour infini, et le prochain pour
– Toi. Tu es tout pour moi ? Je suis tout à Toi. » 1221

« C’est pour vous que Je suis ressuscité. Non pour ma Gloire. Pour que vous croyiez et attendiez votre propre résurrection. » 1226

« Tu ne Me sens pas toujours à tes côtés, cependant Je ne te quitte jamais. Quelques fois Je m’approche davantage. […] Je me voile à cause de votre foi qui doit acquérir des mérites. » 1230

« Je veux te guérir de ta faible foi, de ta vie plus à côté de Moi qu’en Moi, de ta petite et rare vue sur Ma Présence actuelle. Pense : Il n’est pas absent, Mon Grand Ami, Mon Époux. II est seulement invisible et impalpable, mais Il est là, avec Sa Folie d’Amour. » 1253

« Habitue-toi à de fréquents actes de Foi en Ma Présence, en Ma Puissance, en Mon Amour surtout. » 1256

« Je vous attends aux carrefours comme les disciples d’Emmaüs. Bien souvent, Je demeure seul. Ceux que J’attendais ont pris un autre chemin. Mon regard ne les quitte pas, désirant qu’au moment de la mort ils Me tendent humblement les bras. » 1271

« Va ton chemin, sans t’étonner du chemin. Respires-y l’Amour : Avez-vous rencontré mon Bien-Aimé, ‘Dites-moi où vous L’avez vu ? ‘ disait le Cantique des Cantiques. Et Madeleine : ‘Dites-moi où vous L’avez mis et je L’emporterai’. De même, Mon amie, cherche-Moi en toute action de tes jours et emporte-Moi au fond de toi. » 1272

« Je suis un Sensible et Ia plupart Me croit indifférent et éloigné. Je suis plus près de vous que vous-mêmes. Et tout ce que vous Me dites avec tendresse, charme et fait les délices de Mon CŒUR. Crois bien cela. Et plus souvent tu Me viendras amoureusement sans Me voir. Mais en croyant de cette foi assurée, tu acquiers de grands mérites pour toi et d’autres. » 1275

« Ressuscite… Ressuscite avec Moi. Cela veut dire : Sois une autre. Meilleure. Sois plus près. Toujours plus près de Moi. Implore-Moi et compte sur Moi. » 1310

« Que ne ferais-tu pas si tu Me voyais réellement ? Tu te jetterais à Mes genoux. Tu Me presserais sur ton cœur. Tu Me remercierais de Mes Souffrances etde Mes bienfaits… Fais comme si Je te devenais visible. Oh ! le bon exercice de Foi ! Qui amène l’Espérance et la Charité. » 1323

« Dis-Moi : Que mon entendement ait la vraie Foi. Que ma mémoire ait 1a vraie Espérance et que ma volonté ait Ia véritable Charité ! » 1328

« Rapproche-toi sans cesse ; rejette tout ce qui nous séparerait : manque de confiance et d’espérance. C’est si bon d’espérer. Espères-en la sainteté. Elle est possible, puisque Je 1a demande à chaque âme. Alors ? Crois en Mon secours. Appelle-Moi souvent. Plus souvent encore. » 1235

« Doux et humble… Et comme tu dois Me ressembler devant le regard du Père, applique-toi à ces deux vertus. Fais des efforts répétés. Dis-toi : ‘Il faut que je monte !’ On ne monte pas sans peine. Tu sais que J’aide toujours quand on ne compte pas sur soi, mais sur Moi. » 1270

« Jette-toi dans Mes bras. Affirme que tu crois, que tu espères, que tu aimes et remets-Moi tout en toi. » 1278

« Ressuscite dans l’amour en chacune de tes actions. Monte. Sors de ton sépulcre habituel. Réchauffe ta froideur. Ne vois que Dieu. Perds de vue Ia terre. » 1302

« Qu’attends-tu pour te dépasser de ta moyenne mesure ? Demande-Moi aide et secours. ‘Quand tu me tuerais, j’espérerais en Toi., Oh ! Ia belle parole de Job ! » 1323

« Enfonce-toi dans la Foi. Vis plus vivante. Parle-Moi comme si tu Me voyais. Puisque tu sais Je suis là. Où tu te trouves, trouve-Moi. Ne sommes-nous pas ensemble ? Quand tu M’aimes, Aime-Moi vivant. Vivant dans Mon Corps glorifié. » 1350

« Réjouis-toi de ce grand Amour qui t’encercle. Essaie d’y répondre. Prends de Ma Science à aimer. Prends tout ce que tu peux de Moi pour Me ressembler : J’aimerai Me reconnaître en toi. » 1360

« L’Amour ? Tu le trouves partout en Moi ! » 1232

« Ma Mère obtient tant, là où vous ne pouvez atteindre. Donne-toi à Elle, afin qu’Elle te sanctifie et appelle l’Esprit. » 1237

« N’est-ce pas un délice de se pénétrer de Mon Amour ? Vis-tu avec Lui ? Le salues-tu en t’éveillant ? Et le soir, t’endors-tu dans Ses bras ? » » 1317  

« Demande-Moi l’Amour. C’est Moi qui le possède. Je donne à qui Je veux. Mais il faut le demander, il faut le prendre dans mon CŒUR. Tu veux bien ? » 1322

« Comment ne pas désirer t’unir à Celui qui t’aime le plus ? Celui qui est plein de charme… Celui qui s’appelle l’Amour ? As-tu jamais connu quelqu’un qui s’appelât ainsi ? Quelqu’un qui possédât l’Infini ? Peux-tu imaginer une Force qui n’a pas de limites ? Cette Force est Amour et Bonté. » 1323

« Combien j’aime cette disposition d’esprit : être prête à s’unir. N’est-ce pas comme un acte d’amour ? Comme un élan ? Et Moi, Je recueille votre foi, la récompensant par une grâce. » 1327

« Dis : Approche ton souffle du mien qui vient de Toi. Ta demeure sera ma demeure, je ne saurais plus vivre sans Ton pas dans le mien, et Ta voix dans ma voix. Ne dit-on pas : ‘Ouvrez mes lèvres’. C’est donc pour que l’Esprit parle en vous, enfants de Dieu. » 1336

« Ne crains pas d’inventer de nouvelles manières de M’aimer. Trouve Ia façon la plus rapide. » 1361

« Tu te rappelles ? J’avais dit : ‘Si Je M’en vais, Je vous l’enverrai. Appelle donc souvent le Saint Esprit : la Sainteté c’est son Royaume. Demande fréquemment ; pourquoi aurais-tu honte ? N’êtes-vous pas faits pour être saints ? » 1366

« Très souvent, aie recours à l’Esprit Saint. Qu’II te pénètre ; demande-le Lui en Mon Nom. Tout faire pour l’amour de Dieu présent. Penser au bien du prochain. Saisir l‘occasion d’un bien, c’est Me saisir. » 1366

« Tu diras comme les Apôtres à la Pentecôte : qu’étais-je ! et que suis-je devenue ! Mais tu ne peux rien, supplie-Moi. Est-ce que tu sais supplier ? » 1379

« Prenez Mes intérêts au mépris des vôtres. Soyez comme sortis de Mon Sein et n’aspirant qu’à y rentrer pour l‘Éternité. Sois une exilée, une perdue sur ces routes de la terre. Ne pense qu’au ciel où Je t’attends pour célébrer les Noces de notre Alliance d’Époux. » 1230

« Ne perds pas le but : la sainteté. » 1263

« Ne craignez point, même à la mort, surtout à la mort : c’est le moment de l’ultime confiance, c’est la réparation générale de la vie, c’est la porte qui va s’ouvrir. Et Je suis derrière. Que cette pensée fasse naître l’impatience : combien elle Me sera agréable. » 1287

« Tu es dans les bras de l’Unique à qui tu as tout remis : ton honneur, tes biens, ton cœur. Il emploiera tout pour ta sanctification. C’est le seul grand but : aimer et plaire à Dieu. » 1326

« D’échelon en échelon, vous pouvez en peu de temps atteindre un degré que vous ne soupçonnez pas. Car Mes dons ne sauraient s’arrêter, et Ma joie est de Me communiquer sans fin. » 1327

« Ne t’étonne pas d’avoir des traverses, tu n’es pas faite pour le repos de la terre, mais pour le repos du Ciel. C’est ainsi. Habitue-toi à poser ton but dans l’Éternité. Rien de ce qui passe n’a d’importance que dans s   on rapport avec le But. Juge tout en Moi, par Moi.» 1333

« Si tu Me mets dans ta vie, Je serai dans ta mort. Quel départ ! Ensemble ! De la terre à l’autre monde. Est-ce que cela ne vaudrait pas la peine que nous vivions ensemble ? Écoute Ma voix : c’est celle d’un amour que tu ne soupçonnes pas. » 1361

« Cherche Ma Gloire dans ta vie, tu mourras pour Ma Gloire. Au Ciel, les Saints continuent d’être Ma Gloire. C’est commencer le Ciel que de Me glorifier ici-bas. Unis-toi aux Saints pour M’exalter. » 1367

« La vie de l’au-delà ne peut-elle pas être commencée en préparations admiratrices et louangeuses ? Ah ! Si c’était une chaîne sans interruption de ta naissance sur la terre à ta naissance au Ciel ! Prépare le Ciel comme on prépare une fête. » 1368

« Demande souvent Notre Gloire, car Notre Gloire, c’est votre amour. » 1237

« Je suis le même Christ qu’au Ciel. Essaie d’être la même que plus tard » 1254

« Oh ! Petite fille de Ia Sainte Trinité, marche en avant toujours, non pas avec tes forces, mais avec les Nôtres. » 1272

« Combien peu vivent en famille avec les Trois Personnes Divines… Cependant, Je suis votre bien, votre voie. Vivant en Moi, vous êtes en Elles. Tout simplement sois donc sincère et tendre ! Elles t’aiment tant ! Comment aurais-tu peur de Les aimer ? Réduis donc tes désirs au seul Désir de vivre et de mourir dans l’unique amour des Trois Personnes Divines. » 1288

« Vois mon zèle amoureux de ta montée en grâces. Je vous voudrais saints, car Mon père est Saint. Pour cela : être simples. L’avoir qu’une pensée : aimer Dieu. Étendre Son Règne. Procurer sa Gloire. Maintenant, c’est Ia route obscure, mais tu verras plus tard, dans les joies bienheureuses. » 1312

« Ne Me quitte jamais, même au repos, dors sur Mon cœur ; Si tu pouvais savoir l’importance que Je donne à l’union… Tu comprends, c’est votre adhésion qui M’honore et Me glorifie, quand de vous-même et sans pression vous venez à Moi. » 1323

« Ta Mère Immaculée, ne La quitte pas. Elle non plus ne te quittera pas. Elle t’aime plus même que ne t’a aimée ta chère Maman ! Elle a souffert plus pour t’enfanter. […] Remercie La, aime-La. Dis-le Lui surtout. Et ces colloques te rapprocheront de Moi. Où te mènerait Elle ? Sinon à Moi. Elle est bien trop humble pour rapporter à Elle ce qui
M’appartient ; Elle qui n’a vécu que pour Dieu. Demande-Lui de t’apprendre à ne vivre que pour Moi. Mets toute ta confiance en Elle. Elle t’aidera à monter la côte. On peine sur la montagne de la perfection. » 1340