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« Apprends de Ma Miséricorde qu’à mesure que les âmes profiteront de tes écrits, tu seras toi-même comblée de joies dans les mêmes proportions.

« Et chaque lecteur sera favorisé de la même Grâce.

Tous ne formeront qu’une famille dont les membres sont solidaires : la Famille de Mes amis intimes. »

« Lui et moi », tome 1


1- Premiers échanges :

« Lui et moi » débute alors que Gabrielle est sur le transatlantique « Ile de France », en route pour une tournée au Canada, par une appellation tendre.

22 août 1936. Sur le paquebot Pendant le concert classique, je Lui offrais en gerbes les sons et la douceur qui en sortait. Il m’a dit tout doucement, comme une fois [au Fresne] :

« Ma petite Fille. »

Lors des premiers échanges assez courts, Jésus appelle Gabrielle à l’aimer, à lui témoigner sans cesse son amour en sortant de ses mesures habituelles.

23 août 1936 :

« Dis-le-Moi souvent : quand tu sais que quelqu’un t’aime, tu es contente qu’on te le dise. »

25 octobre 1936 Lors de la consécration :

« Occupe-toi de Mon Amour…il n’y a pas un orphelin aussi délaissé que Moi ».

16 décembre 1936 : 

« Sors de tes mesures habituelles. Aime – Moi davantage. »

Ce cœur à cœur permet à Jésus d’œuvrer en Gabrielle.

25 décembre 1936.

« Cache-toi en Moi. Nourris le monde de tes souffrances. C’est comme cela que tu seras Mon épouse. »

28 décembre 1936 :

« Quand tu M’aimes, tu te purifies. »
« Je change tes prières en Mes Prières mais si tu ne pries pas…
« Puis-Je faire fleurir une plante si tu ne la sèmes pas ? »

Jésus envoie Gabrielle témoigner de sa présence par ce charme qui la caractérise et dont toutes les personnes qui l’ont connue témoignent.

24 septembre 1936.

« Souris à tous. J’attacherai une Grâce à ton sourire. »

17 décembre 1936. Un soir.

« Où est toute Beauté et tout Charme, Je suis. »
« Sois Ma Grâce à chacun. »

17 juin 1938 Pendant mon temps d’arrêt, Il me dit :

« Est-ce que l’épouse ne finit pas par ressembler à l’Époux à force d’être auprès de Lui ?
« Est-ce que l’Époux n’est pas heureux de retrouver en elle Sa ressemblance ? Prends de Ma grâce. Prends de Mon charme et donne aux autres. »

Jésus confie à Gabrielle de diffuser des messages spirituels à travers ses tournées théâtrales qui lui font sillonner la France, l’Europe, l’Afrique du Nord (Tunisie, Algérie). Il l’aide très concrètement dans cette mission.

25 mai 1937. Rennes, dans le train

« Pourquoi ferais-tu de la solitude, si Je te veux publique ? » Puis Il m’a dit tendrement : « Ma petite enfant bien-aimée, porte-Moi, porte-Moi aux autres. Surnaturalise. »

11 avril 1937. Tunis, à L’église du Sacré-Cœur :

« Reste appuyée sur Mon épaule tout aujourd’hui », jour de la représentation de la « Petite Veilleuse de quatre sous ».

18 mars 1937.

Dans le Puy-de-Dôme, je portais péniblement mes paquets après une nuit bousculée dans le train, et je disais dans les escaliers du souterrain : « Je porte ma croix avec Toi, mais pour Toi, quelqu’un est venu t’aider. » Et aussitôt derrière moi, un monsieur m’a délivrée d’une valise.

15 mars 1937, Revenant de jouer à Brest, je pensais :

« Si les circonstances m’avaient menée à faire du cinéma, ma renommée… », tout de suite, Il m’a interrompue : « Je te garde pour Moi. »

Ces tournées peuvent paraître difficilement conciliables avec une vie spirituelle. Jésus invite Gabrielle à une prière simple :

2 janvier1937

« Qu’il te suffise de M’offrir l’instant qui se présente : ainsi, toute ton année sera à Moi. »

10 juillet 1937

« Ne vise pas à dire exactement tant de paroles de prières : aime – Moi tout simplement. « Un regard intérieur. « Un sourire d’amie tendre. »

12 juin1937
« Partage ta journée en trois phases :
« Le matin à ton réveil, donne-toi au Père Créateur qui t’offre son fils en nourriture.
« Après la messe : donne-toi au Fils qui est en toi.
« Endors-toi dans le Saint-Esprit qui est l’amour. »

Le Christ entraîne Gabrielle sur un chemin de perfectionnement bien différent de ce qu’elle imagine.

Juin 1937. A la campagne.
« Je ne te demande pas la Perfection — ce serait difficile pour toi — mais l’Esprit de perfection. Aie toujours la volonté de faire très bien. Et cela, avec grand amour. »
1937- Oran. Dans ma cellule sous l’escalier. Il me fit entendre que la perfection d’une âme n’est pas le même travail que celle d’une autre.
« Vise à la Perfection. Mais à la Perfection de « ta nature ». Et tu Me feras plaisir. »
Sur la route.
« Je ne vous demande pas d’être des anges. Je vous demande d’être saints selon votre nature. »

Jésus l’encourage à des actes précis.

30 avril 1937. Dans le train de retour.
« Quand un objet a besoin de réparations, on le confie entre les mains de l’ouvrier. Mets donc ton âme, silencieuse et immobile, sous Mon Regard. Je répare. »
5 janvier 1937.
« Fais des actes d’espérance. Sors de toi. Entre en Moi. »
« Ne juge pas. Connais-tu son âme ? »
« Mets-Moi devant toi. Moi d’abord. Toi, après. »
« Fais-leur plaisir pour Mon plaisir. »
20 mars 1937. Dans la Lozère :
« Sois aimable, bonne, au-delà de tes habitudes. L’Epouse ressemble à l’Epoux. Ecoute-les parler. Cela leur fait du bien de parler et d’être écoutées. »
8 avril 1937. Sousse (Tunisie) :
« Rends le bien pour le mal. N’en perds pas une seule occasion. »

Jésus l’incite à un cœur à cœur toujours plus profond avec lui, de façon à se fondre en lui et ainsi à rayonner son amour auprès de ses frères.

11 février 1938. Dieppe :
« Prends l’habitude de penser non pas en toi, mais en Moi. Si tu faisais cela, tu ne Me quitterais jamais.
Avril 1938 Tirlempt (Algérie).
« Disparais en Moi, « Je paraîtrai en toi. »
17 juin. Pendant mon temps d’arrêt, Il me dit :
« Est-ce que l’épouse ne finit pas par ressembler à l’Époux à force d’être auprès de Lui ?
« Est-ce que l’Époux n’est pas heureux de retrouver en elle
Sa ressemblance?
Prends de Ma grâce. Prends de Mon charme et donne aux autres. »
Paris 1937. Dans le métro.
« Je suis l’Hostie. Tu es l’ostensoir. Les rayons d’or sont Mes Grâces à travers toi. »
2 mars 1937.Devant la Loire inondée.
« Sois toujours sereine et calme.
« La rivière ne reflète le ciel que quand elle est calme. »

Jésus invite Gabrielle à participer activement au rachat des âmes.

24 juin 1938. Fête du Sacré-Cœur.

« (…) Aie le souci du pécheur ! Prends en le soin. Pour moi. Regarde Mon Cœur : ce ne sont que des battements d’Amour, des battements douloureux de désirs de votre amour. Aide-Moi !… »

« Comment faire, Seigneur ? »

« Offre tout toi à travers Moi, pour leur salut. Perds les petits soucis de la terre. Entre dans les grands intérêts du Ciel de Dieu.
« Si tu pouvais comprendre ce qu’est le Ciel, ce qu’est la perte du Ciel, rien d’autre ne compterait, sinon le salut des âmes. »

12 décembre 1937. Bastia. A la messe pendant le Pater.

« Seigneur, quand Vous parliez sur la Croix en souffrant tellement, comment est-ce que ces minutes n’ont pas sauvé tous les pécheurs de la terre ? »

« J’ai ouvert le Ciel à tous, mais chacun est libre.
« C’est vous, Mes frères, qui devez compléter le salut des hommes en Me le demandant, en souffrant pour eux. »

3 octobre 1938.
« Maintenant que tu as compris la vie en Moi, surveille si tu mets Ma suavité dans tes rapports avec ton prochain ? Rappelle-toi que ton prochain, c’est encore Moi. »
« Donne-Moi tout. La vie ne se compose que de toutes petites choses. Si Je t’enlevais cette petite souffrance, tu ne pourrais plus Me l’offrir. »
2 janvier 1938. J’unissais une petite déception aux Siennes. Lui :
« C’est cela, le Calice :
« une goutte d’eau, toi,
« au Vin, Moi. »

Gabrielle s’astreint tant bien que mal à cette exigence et mesure ses limites. Jésus lui montre sa miséricorde.

9 janvier 1938. Nantes, passant près de N.-D. :
« Bonjour, mon Dieu. Que de négligences de ma part…
Vous allez me châtier ? »
Lui : « Pourquoi châtier ?… Est-ce que Je châtie ? »
Et Il m’a montré Sa Miséricorde.
Janvier 1938. Comme j’étais peu contente de moi et gênée devant lui.
« Est-ce que Je ne suis pas plus grand que tes manquements ?
« Est-ce que Je ne suis pas plus grand que ton pauvre être ?
« Donne-Moi tout.
« Je répare quand on Me demande de réparer. »
10 avril 1938. Arvieux.
« En Purgatoire, ce sera le règne de la Justice. Mais tant que tu es sur la terre, tu es sous le règne de la Miséricorde. Sers-toi en elle. »

2- La vocation de Gabrielle : Consolatrice du cœur de Jésus

Le 28 juin 1939, Jésus demande à Gabrielle, comme il l’avait demandé jadis à sœur Marguerite-Marie, de veiller une heure le jeudi pour communier aux souffrances de sa passion. Dès lors, elle fera une Heure Sainte chaque semaine, le plus souvent à l’église du Fresne-sur-Loire de 16h30 à 17 h30.

28 juin 1939. Nantes.
« Honore Ma couronne d’épines. Ce fut si horrible pour Ma tête ! Si doux pour Mon Amour !…
Désormais, tu feras l’heure sainte du jeudi. Je la demande cette heure avec Moi. Au début, oui, il faut un effort, et puis ensuite cela ne coûte plus. Rappelle-toi tes premiers couchers (sur le plancher), et maintenant ? Tes premiers chemins de Croix, et maintenant ? « Oh ! Ma Fille chérie, ne Me quitte pas, ne Me quitte jamais, Moi qui suis toujours avec toi, toujours ! …»
— 27 juillet 1939. A l’église du Fresne, bombardée de la veille. Heure sainte.
« Tu veux bien Me donner ton secours consolateur. Peut-être, Je ne t’ai mise sur la terre que pour Me consoler. Penses-y souvent, afin que ce charme que Je t’ai donné Me touche, comme une fleur au milieu des fruits du mal dont la haine voudrait M’entourer. Oh ! ma Fille chérie, sois Ma Fille de Douceur, de Repos, de Joie. Tu veux bien ?
« Oh ! Comme J’attends avec respect votre réponse. »
Novembre 1939 — En micheline je passais près de N.-D. S. M.
« Consolatrice, sois cela.
« Un jour, on fondera autour de Moi un groupement de consolatrices.

La vocation de Gabrielle devient alors de consoler le Christ à chaque minute de sa vie.

850. [VII,266] — 7 mars 1940.
« Peut-être, Je ne t’ai pas créée pour autre chose que pour Me consoler ? Me donner asile dans ton cœur où tu Me chantes le cantique d’amour ?
« Pourquoi n’aurai-Je pas une demeure à Moi sur cette terre? Dois-Je encore n’y avoir pas une pierre pour reposer Ma tête ? Ouvre-Moi. Ouvre-toi toute grande, petite âme aimée. »
Qu’est-ce être consolatrice ? C’est être présente aux heures sombres de Gethsémani

Jésus ne se contente pas de rappeler régulièrement à Gabrielle son charisme de consolatrice, il lui explique pourquoi il y est si sensible. Il se présente comme l’homme-Dieu de Gethsémani.

9 janvier 1941. Heure sainte.
« Viens, Mon épouse. Regarde-Moi souffrir dans le Jardin… Comme si c’était ce soir. C’est toujours : ce soir, pour Dieu qui voit d’un même temps, tous les temps.
« Ne Me quitte pas !… Je suis comme un enfant plein de terreur qui supplie qu’on ne le laisse pas seul…
« Demeure là ! Que Je te sache présente. Cela soulage, une présence… Tiens-Moi la main… Je ne suis qu’un pauvre Homme bien misérable, tout en étant Dieu. Personne ne comprendra la somme de Ma misère !
« J’aurais besoin de tous les Miens autour de Moi…
« Je vois l’enfer déchaîné et Je suis Seul pour Me défendre : prie avec Moi !

Il montre sa souffrance à voir les hommes pour qui il a tout donné se détourner de lui.

Avril 1943 Jeudi saint.
« La fête de Mon Cœur c’est l’institution de ce sacrement au milieu de Mes apôtres vers qui Je Me penchais d’une manière inexprimable.
« J’entrais en eux. En chacun, dans l’intimité de soi.
« Et Je Me répandais en eux d’une manière si suave que beaucoup versèrent des larmes.
« Une cruauté dans ce bonheur : la présence du traître.
« J’avais tant aimé Judas… Quelle douleur, Ma fille !
« Imagine qu’ayant choisi une amie, tu visses cette amie, sous des dehors empressés, te vendre à vil prix à tes adversaires…
« Judas, si tu désires trente deniers, que ne vas-tu les demander à Ma Mère ! Elle se vendrait plutôt Elle-même pour M’épargner à la mort… »
« Et J’ai reçu son baiser sur Ma joue…
« Il M’avait déjà tant fait souffrir quand Je le voyais par avance au jardin de Gethsémani…
4 septembre 1940. Heure sainte. Je demandais à l’Archange Gabriel de Le consoler, comme il l’avait fait au Jardin des Olives.
« Oui, Mes Anges Me consolent. Mais une souffrance venue par les hommes trouve sa consolation par des cœurs d’hommes »
« Consolez-Moi, vous, Mes intimes, Mes choisis, selon les merveilleuses inventions de votre Amour. Oh ! Ma petite Fille, tout ce que vous trouverez Me sera doux puisque cela viendra de vous. N’ayez pas peur que Je méprise vos façons, que Je leur reproche leur insuffisance ou leur rusticité, si vous êtes sincères…
« C’est ainsi que J’aime. Parlez-Moi avec la simplicité d’un tout petit. Point n’est besoin de formules. Vos mots, Je les prends dans votre cœur, avant qu’ils n’arrivent à la phrase. Je suis si pressé de les recevoir dans le Mien, vos mots d’enfants !…
« Ne vois-tu pas Mes bras grands ouverts, sur la Croix ? Et plus qu’ouverts… distendus à en être disloqués… Ils seront ouverts éternellement pour votre parfait et doux Refuge… » (…)
« Aide-Moi à sauver les pécheurs. Il y en a tant…
« Ne fut-ce pas là Ma plus grande douleur à Gethsémani ?
« Je les voyais tous à la fois.
« Je prenais leurs fautes comme Miennes, quelle honte !…
« J’agonisais pour eux.
« Je mourais pour eux.
« Combien ai-Je soif ! qu’ils le sachent.
« Que Je suis tout pardon.
« Que Je leur demande, à leur tour, d’être pardon et miséricorde à leurs frères.
« Que leur vie doit être désormais dévotion et pénitence.
« Qu’ils y trouveront plus de joies qu’ils ne trouvaient de plaisirs dans leurs égarements.
«Ah ! s’ils savaient ce que c’est d’être en Mon amour… »

Jésus indique à Gabrielle la façon de le consoler.

12 octobre 1945. Heure sainte.
« Console.
« N’ai-Je pas été le Consolateur ?
« Imite ton Époux,
« qu’il ne passe auprès de toi aucune peine qui ne reçoive de toi un soulagement.
« Ceux qui ne peuvent t’approcher, console-les par la prière.
« Tu sais ? Je t’ai dit :
« Où tu ne peux pas être, ta prière sera. »
« Et tu es sûre qu’en consolant les autres, c’est Moi que tu consoles en eux.
« Oh ! Ma petite Fille, quelle douceur de Gloire Je donnerai à Mes consolatrices…
« On console en aimant.
« Toujours Je te parle d’amour.
« Comment parlerais-Je d’autre chose, Moi, l’Amour ? « Fais-toi amour en union.
« Prends-en l’habitude.
« C’est simple, presque naturel.
« Il faut que Mes consacrées contre balancent les sentiments de haines, de jalousies qui persécutent le monde et M’ont fait tant souffrir.
« Ν’ai-je pas toujours demandé la Charité ?
« l’entraide mutuelle ?
« la douceur humble du cœur qui réchauffe l’accueil ?
« Si tu ne sais pas bien, prends Ma voix pour mieux charmer.
« Prends Ma main pour la tendre.
« Pense : c’est ainsi qu’Il ferait
« qu’Il parlerait,
« qu’Il sourirait.
« Et ne nous sommes-nous pas l’Un dans l’autre ?
« Qu’il te plaise d’agir par Moi comme Il Me plaît d’agir par toi, Ma chère petite Fille.
« Je te demande cet effort de Foi.
(…)
« Pense à Ma Joie, cela t’aidera ;
« que ton plaisir soit de Me faire plaisir comme si chaque fois tu Me préparais une surprise d’amour dans le secret et ton coeur battant.
« Moi qui le ferai battre, n’aurai-Je pas une tendresse nouvelle ? »

L’année suivante Jésus lui indique que par la réalisation parfaite de sa vocation de consolatrice, Gabrielle atteindra le plein accomplissement.

30 mai 1946. Ascension.
(…) « Mais crois-tu jusqu’à fondre entièrement ta pensée dans la Mienne ?… jusqu’à donner à ta vie l’unique direction ? celle de plaire au Cœur de ton Époux, toujours vivant ?… d’être pour Lui une consolatrice sûre et fidèle ?
« Crois-tu assez pour trouver dans chaque fête cet aliment qui doit fortifier ton amour ?
« Tu sais bien que c’est la seule chose nécessaire : faire croître l’Amour dans ton cœur.
« Quand tu M’aimeras parfaitement et par-dessus toutes choses, tout être, toute idée, tout sera accompli en toi, parce que tu auras atteint le But dans lequel Je t’ai créée et rachetée.
« N’aie pas peur de t’offrir à la réalisation de Ma Pensée sur toi, comme si J’attendais d’être encouragé par tes désirs brûlants.
« Dis-Moi : « Seigneur, fais que Je sois ce que Tu as voulu que je fusse ! »
« Aie au moins ce souhait, qu’aucune divergence n’existe entre nous, et que, cherchant à connaître toute Ma volonté sur toi, tu prennes le souci d’y répondre avec toute l’exactitude en ton pouvoir.
« Et, cela aussi, Me consolera du manque d’amour, des mépris et des aversions que Je rencontre, comme Je les avais rencontrés dans Ma Vie mortelle. »

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