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Frère André Marie, moine bénédictin de l’abbaye Saint-Joseph de Clairval (14/06/2017)

Peut-être le savez-vous déjà, c’est par Mme X que j’ai connu Gabrielle Bossis.

Une belle découverte. Depuis des années, je lis et médite chaque jour une page des 7 volumes. Il m’a fallu 2 ans et 10 mois pour faire le tour de tous les volumes.

Au fur et à mesure des années, j’ai fait découvrir mon trésor à certains de mes retraitants qui tous ont été enchantés.

Le Père Descouvemont nous avait parlé lors d’une de ses retraites inoubliables prêchée à l’Abbaye, de Gabrielle Bossis, nous la recommandant comme livre de méditation. (…)

Sœur Lilia, Franciscaine Missionnaire de Marie (Cambo)

Ecrit d’un style agréable et simple, qui m’ont particulièrement éclairée et réconfortée, parfois même bouleversée lorsque tel ou tel passage rejoignait mes aspirations profondes. J’y trouve souvent une réponse à mes questions, un apaisement dans les moments les plus éprouvants.

Merci de tout cœur à l’auteur qui a su – peut-être sans le savoir – être l’écho de la Parole de Dieu en moi.

Oui, Merci !

Sœur Anne-Marie, Franciscaine Missionnaire de Marie (Cambo)

C’est je pense vers 1949 que ma pieuse maman découvrit « Lui et moi », elle en fut éblouie, interpellée et résolue à une recherche plus intime, plus profonde de ce Dieu qu’elle vénérait déjà avec dévotion.

Je venais de commencer une vie de missionnaire, franciscaine, et étais trop loin pour que maman puisse me faire connaître ce livre « qui porte Dieu avec soi ». Elle méditait paisiblement page par page et souhaitait vivement me le faire connaître et en parler avec moi, afin que je puisse entendre et pratiquer personnellement les conseils du Bien-aimé à Gabrielle. « Il faut causer avec Moi, ne pas me laisser seul dans vos cœurs ». Mais j’étais en terre musulmane où la plus grande prudence était de rigueur au sujet de la religion chrétienne et surtout du Christ considéré seulement comme un prophète là-bas.

Sa tendresse maternelle lui fit trouver une solution courageuse : puisque je ne pouvais recevoir ces précieux livrets de vie, elle me les copierait comme un document très personnel, intime, un trésor de famille. Ainsi, au fil des années m’arrivèrent de discrets carnets, très soigneusement recopiés et accompagnés d’images symboliques.

A présent, plus qu’octogénaire, j’en confie un à Chantal, comme un geste de reconnaissance en ma chère maman… et pour témoigner de l’importance vitale qu’a eu pour nous le précieux « Lui et moi ».

Merci Chantal, Gabrielle Bossis avec « Lui » ont dû susciter notre rencontre imprévue qui restera une connivence entre vous et moi et aussi un encouragement mutuel.

Témoignages des Soeurs du couvent de la Visitation de Nantes

Témoignage de Soeur Marie-Jean et Marie-Joseph :

         Grâce infinie à cette merveilleuse providence : il y a quelques années, alors que je traversais peut-être une certaine « crise » de la foi en ma vocation de moniale, sur une étagère du couvent je « tombais » sur un des petits livres « Lui et moi ». Grâce à la lecture de ces mots d’amour de Jésus à Gabriel Bossis il me semblait que Jésus voulait qu’ils soient aussi pour moi, je fus alors progressivement « confortée » dans ses grâces et dans le don de Son Amour sur moi ! Éternelle et la fidélité de mon Seigneur ! Indicibles ses miséricordes ! Jeudi de l’Ascension 2009.

Le témoignage des soeurs âgées :

         Je, soussigné Soeurs Marie-Joseph B., à ce jour supérieure du monastère de la Visitation Sainte-Marie de Nantes, certifie avoir entendu de la bouche de nos soeurs ainées, le témoignage suivant :

         Gabrielle Bossis venait prier dans la chapelle de notre monastère (voir en particulier dans « lui et moi » date du « 17 octobre 1940 – heure sainte – Visitation – fête de Sainte Marguerite Marie. » (Vol 5, p123)

         Elle s’était engagée comme membre de la garde d’honneur du Sacré-Cœur de Jésus, le 20 novembre 1949 (voir registre du monastère).

         Régulièrement, elle rencontrait au parloir mère Claude Marie de Barmon. Cette humble et grande supérieure avait foi en la Voix qu’elle entendait et dans ses mots d’amour donnés pour aider un grand nombre de nos contemporains à découvrir ou à vivre pleinement l’essence même de leur vie baptismale : Vie de relation et de communion intime avec notre Dieu d’Amour Un et Trine !

Mère Claude Marie croyait vraiment en l’origine surnaturelle de ces locutions.

         La lecture de ces paroles–« rayon » lumineux de l’unique parole de Dieu–m’ont aidé et fortifier moi même – ainsi que plus d’une autre moniales ! – Sur le chemin de notre consécration et continue de le faire pour servir notre contemplation du vrai « Visage » de Dieu et notre union au Cœur doux et humble de l’amour infini « fait » notre époux et notre Tout !

Sœur Catherine, (Monastère du Carmel, Develier, Suisse, 27/01/2019)

(…) En ce qui me concerne, la découverte des textes de Gabrielle Bossis est une des plus grandes grâces de ma vie.

Comme une réorientation, une immense simplification. Et en même temps un appel à « plus loin », « plus profond ». C’est la même que chez Sainte Thérèse d’Avila. Joie. (…)

Oui, Chantal Cambay nous fait parvenir un certain nombre de la petite brochure « Guérir le cœur » que nous partageons largement.

De même, nous nous sommes procurés un bon nombre d’exemplaire de « Lui et moi », que nous avons parfois l’occasion de remettre à des retraitants ou d’offrir à des proches de notre monastère. (…)

Sœur Agnès (Monastère de la consolation – Draguignan)

(…) Il y a presque 15 ans que j’ai découvert « Lui et moi ».

J’ai été frappée par l’importance du Thème de la Consolation dans les échanges de Jésus et Gabrielle. Aussi, ai-je essayé de les extraire pour en faire de petits carnets afin que chacune de nous puisse nourrir sa vocation de consolatrice par ces paroles et conseils de Jésus.

Chacune de nous a depuis noué une intimité avec Gabrielle et par elle a fortifié sa vocation de consolation.

La maman d’une de nos sœurs connaissant bien Gabrielle Bossis (sa mère était amie avec Gabrielle) nous a procuré les textes des prières qui nous ont tellement enchantées que nous avons décidé de les mettre en scène (pas dans leur intégralité, car il faudrait chanter et danser tant Gabrielle Bossis était une artiste complète !)

Depuis, les sœurs ont décidé de faire découvrir autour d’elles cette spiritualité si dilettante qui conduit à une intimité de plus en plus profonde avec Jésus. (…)

Sœurs de la Consolation jouant l’une des pièces de Gabrielle Bossis :  « La petite veilleuse de 4 sous. »

Témoignage de sœur Nijolé Sadùnaité de la Congrégation des servantes de la Vierge Marie Immaculée.

Nijolé Sadūnaitė compte parmi les plus célèbres martyrs lithuaniens de l’Eglise du silence. Religieuse dissidente durant la période soviétique, elle est condamnée en 1975 à 3 ans de goulag en Moldavie et en Sibérie.

Son « journal » parvenu clandestinement en Europe et qui sera publié par l’Aide à l’Eglise en Détresse sous le titre « Un sourire au Goulag »,  nous plonge au cœur de l’immense foule des croyants persécutés pour le Christ.

Pendant le temps soviétique, j’ai multiplié les exemplaires du livre « Lui et moi » de Gabrielle Bossis avec une machine à écrire. Ce livre est très apprécié et il a surtout de la valeur car il incite à faire confiance à la Bonté de Dieu et fréquenter dans la journée la présence amicale de Jésus, des saints et des anges.

Pendant mon exil en Sibérie entre les années 1977 et 1980, je traduisais des extraits du livre « Lui et moi » en russe et je les envoyais dans des lettres aux autres exilés qui peinaient en Sibérie. Ils étaient très reconnaissants de cette nourriture spirituelle et morale qui les soutenait dans des conditions de vie difficiles.

Que Jésus et Gabrielle Bossis soient remerciés ! Grâce à ces livres, beaucoup de gens ont reçu de l’amour miséricordieux de Jésus, consolation et force, afin de ne pas être écrasé par la misère.

Nous voudrions que Gabrielle Bossis soit comptée parmi les bienheureux et les saints.

Sœur Madeleine Lancrenon, Franciscaine Missionnaire de Marie à Marseille

Tu me demandes mon témoignage sur Gabrielle ou plutôt sur cette conversation que j’ai surprise hier soir entre Lui et Gabrielle… ce petit livre blanc qui trainait sur une table du réfectoire, voilà : que ces lignes soient rédigées dans la simplicité et la vérité, sous le regard de l’Esprit.

Malgré mon grand âge, 89 ans, mon tempérament expansif… enthousiaste disent certains…, je dois lutter contre le Malin… je l’entendais me dire : « Tu l’appelles ton Bien-Aimé ? Pauvre sotte ! Tu l’aimes tellement mal ! et d’ailleurs, c’est un leurre… ! Tu as misé sur le mauvais pion, une salade ! Laisse tomber, tes efforts ne servent à rien ! etc., etc…

Mais le petit livre blanc : « Travaille à être à tous mon sourire… »,  « Sors de tes mesures habituelles, aime-Moi davantage… », « Mets ton cœur sur Mon cœur, aspire, bois ma souffrance », « Prends tout de Moi et mange. A quiconque chercherait à M’entendre, je parlerais. A quiconque Me désirerait, Je viendrais ».

Si quelqu’un lit ces lignes, qu’il ouvre un des petits livres : « Lui et moi ».

J’ai compris, puisque je m’appelle Madeleine, que mon Bien-Aimé me demandait d’aller « le dire à mes frères » et ça oui ! Je le ferai avec Hippone. Hippone est un groupe d’une dizaine d’adultes que j’anime à la paroisse de la Pomme, issu du catéchuménat, entre 28 et 63 ans, 2 hommes et 8 femmes, multiculturel, comme il y en a tant à Marseille, des recommençants, des néophytes…

Merci mon Bien-Aimé de m’envoyer encore dire ton Amour, avec les écrits de Gabrielle. Je vais lâcher dans les cœurs ces germes de tendresse tous simples et l’Esprit en fera mûrir ses fruit :  « l’Amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi ». On les trouve chez Paul dans sa lettre aux Galates 5, 22-23…et la suite …

Merci Gabrielle 

Témoignage de Sœur Jeannine Communauté de Saint-Charles

Vous m’avez demandé de vous écrire un témoignage concernant « Chanteuse de rue ».

En 1945 (4ème trimestre), j’avais 18 ans et je commençais ma profession d’enseignante au Louroux-Béconnais. Je suis allée avec les jeunes de cette paroisse (en vélo) voir « Chanteuse de rue » à Belligné.

Je me souviens très bien que cette pièce m’a interpelée pendant un certain temps. Je pensais déjà à la vie religieuse, cherchant ma voie. J’aimais les enfants, j’avais déjà accompagné, lors d’un séjour en vacances, des enfants de milieu défavorisé, auquel j’appartenais. Les réflexions et le dévouement de la « Grande Fourchette » répondaient à mon désir et à celui du Seigneur sans doute !

J’y ai répondu (ou du moins essayé) pendant 45 ans.      

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