Notre Père
qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite,
sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour,
pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi
à ceux qui nous ont offensés
et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre-nous du mal.
Amen.
« Je vous salue Marie, comblée de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant, et à l’heure de notre mort.
Amen.”
Premier jour
Après la communion, je disais le Pater :
« Quelle autre prière pourrait égaler celle que J’ai faite Moi-Même! »
(Et à chaque demande du Pater, Il semblait me presser sur Son Coeur.)
« Aime bien tes prières : le Pater, l’Ave, toi qui aimes les choses d’art, aime tes prières.
« Je guide tes mots sur tes lèvres, quand tu pries, comme on guide les pas d’un petit enfant. »
(…)
Et puis, fais-Moi faire Mon Métier de Sauveur : recommande-Moi des âmes. »
655. [VII,164] — 24 avril 1939
Deuxième jour
« Oh ! pense souvent à Mon Amour présent. Je suis partout là. Mets ta tête sur Mon Coeur… mais puisque cela Me fait plaisir. Et toi n’es tu pas heureuse ? Alors… Ah ! si tu comprenais le Don de Dieu et qui est Celui qui te parle !… Viens donc à Moi et en toi amène les autres. Ne puis Je guérir à distance ? Nomme-les Moi seulement. Tu sais que certains guérisseurs n’ont pas besoin de voir le malade, mais quand tu M’en parles, Je les vois et ne suis-Je pas le Grand Guérisseur ? »
1253. [III, 174] — 23 juillet 1942
Troisième jour
“Mais il faut croire à l’Amour. Tu sais comme souvent dans l’Évangile il est écrit : « Votre Foi vous a sauvés. » Oh ! Mes petits enfants, croyez bien et vous Me déroberez toute grâce. Surtout pense à Ma Gloire ! Tu veux bien que ton Christ, que Son Église soient glorifiés ? Alors, demande-Le-Lui souvent.”
1205. [III, 135]
Quatrième jour
— Après la Communion. —
« Tu M’as demandé des torrents incessants de Foi, d’Espérance, de Charité : Il faut en faire fréquemment l’exercice.
« Dis :
« Je crois en Toi, Amour chéri,
« J’espère en Toi, Amour Puissant,
« Je t’aime, Amour Infini,
« et le prochain pour Toi.
« Tu es tout pour moi. Je suis toute à Toi. »
1221. [III, 145] — 22 mars 1942.
Cinquième jour
« Expose-toi devant Moi. Étale ton âme pauvre, comme en Judée, les malades à Mon passage. Raconte. Implore. L’Évangile dit : « Il les guérissait tous ». Excite ta foi et ta confiance. Adresse-toi à Ma Folie d’Amour. Désire répondre par une autre folie.
1252. [III, 173] — 16 juillet 1942.
Sixième jour
“ Toi, tu es sans force aucune. Dis-le Moi, pour que Je te secoure. Si tu voyais un malade se complaisant dans sa maladie, tu ne chercherais pas à le guérir. Mais s’il crie vers toi, tu lui tends la main. Et s’il te témoigne sa reconnaissance, tu le presses sur ton coeur.”
1314. [III, 218] — 20 mai 1943.
Septième jour
Je pensais à des étrangers réfugiés chez moi.
« Ne crois pas que ce soit par hasard. Je les ai choisis. Fais-leur tout le bien en ton pouvoir, avec la diplomatie d’une apôtre résolue d’arriver à ses fins. Recommande-les Moi. Prie pour eux. Souffre pour eux. N’ai-Je pas souffert pour tous ? Imite-Moi. Cherche des ressemblances avec ton Époux. Aie Mon Visage sur ton visage. Le Père sera charmé et te comblera. Que n’obtiendras-tu pas ?
« Pourquoi demandes-tu si peu ? Viens à Nous, Ma Fille, soulage Nos désirs de faire Miséricorde. Crois bien que ceux qui forment ton entourage, sont là pour que tu intercèdes en leur faveur. Je te suis, pas à pas. Comment pourrais-tu jamais te croire seule ? Et Je mène tout dans ta vie. Laisse-toi emporter par Mon Coeur. »
1332. [III, 230] — 30 septembre 1943.
Huitième jour
« Tu te souviens de la piscine que l’Ange venait agiter afin de guérir ? Nul n’en connaissait le moment.
« Tiens-toi à l’écoute, respectueusement, amoureusement.
« Et l’Esprit passera. Ne Le connais-tu pas, cet Esprit ?
« Ce Feu de lumière intime,
« ce Feu de bonté douce qui, tout à coup, te traverse ? Attends donc en toi Son passage. « Fais la haie », avec ton recueillement attentif.
1639. [IV, 163] — 9 octobre 1947.
Neuvième jour
« Console.
« N’ai-Je pas été le Consolateur ?
« Imite ton Époux,
« qu’il ne passe auprès de toi aucune peine qui ne reçoive de toi un soulagement.
« Ceux qui ne peuvent t’approcher, console-les par la prière.
« Tu sais ? Je t’ai dit :
« Où tu ne peux pas être, ta prière sera. »
« Et tu es sûre qu’en consolant les autres, c’est Moi que tu consoles en eux.”
1391. [II, 217] — 12 octobre 1944. — Heure sainte.
Ô Christ mon frère
Travailler près de Toi
Souffrir avec Toi
Mourir pour Toi
Survivre en Toi
Bonjour, est-ce que cela serait possible aussi de rendre disponible le lien vers cette neuvaine en pdf, svp. Merci
Bonjour
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merci
Merci Seigneur Jésus,
de bénir les enfants Olivier, Romain, Frédéric,
dans la Paix, la Joie et l’Amour.