Encouragements à prier le Rosaire

« Ne Me croyez jamais loin, Mes chers petits, si souvent en danger… Comme votre voix humble M’est douce ! » 1677

« C’est si difficile de penser à ton Seigneur ? C’est si difficile de parler avec Lui ? de Lui tenir compagnie ? 1685

 « Dieu est en toi, comme à la porte de toi. Tu Lui ouvres quand tu Lui parles, quand tu Le regardes quand tu essaies de décoller ta pensée des choses extérieures, pour l’appliquer vers Lui avec toute la tendresse dont tu es capable. » 1685

« Oh ! dis-Moi que tu es bien à Moi désormais !
« Tu Me dis : « Vous le savez bien, Seigneur ! … »
« Ne M’enlève pas la joie de te l’entendre Me le répéter. Tous les mots, tu peux Me les dire, à Moi. Mais avec les autres, aime le silence : Je parle du silence de bonté. Tu M’y trouveras. J’écouterai toutes les paroles que tu ne diras pas. Tu les retiendras pour Moi, à cause de Moi. Tu M’en demanderas la force ; et ce sera comme des fleurs coupées dont Je M’offrirai un bouquet. »
1687

 « Et quand tu cherches à Me parler, dis-Moi simplement : « Je t’aime. » Crois que c’est assez. Crois que c’est tout. Cela renferme les regrets, les espoirs, la confiance, et sans bornes, et sans expression de mots. Moi, Je vous sais jusqu’au fond. Je vous pénètre en pleine clarté, aucun de vos efforts ne M’échappe. » 1700

« Je suis toujours le Créateur, comme aux sept jours, et ta confiance M’honorera. Oh ! cette question de confiance… Pourquoi avez-vous tant de peine à croire ? Relisez l’histoire de Ma Vie (…) cette Présence perpétuelle de Moi au milieu de vos vies, ne mérite-t-elle pas que vous veniez Me raconter tout ce qui vous occupe avec une tendre ouverture de cœur ? » 1707

« Quand tu veux prier et que tu déplores les distractions qui t’emportent, tu M’aimes. » 1717

« Toi qui viens chaque jour dans Ma Maison, parle-Moi pour eux, afin qu’avant d’entrer, portés sous un catafalque pour une dernière fois, ils M’aient donné leur corps vivant, leurs facultés et tout leur être. » 1726

« Demande comme on demande en famille. À tous moments, laisse-moi vivre où tu vis (…) Tiens-moi au centre de toi comme le soleil au zénith et tes journées seront divines. » 1735

« Ne mets pas d’arrêts à tes supplications. Je ne mettrai pas d’arrêts dans Mes dons.Tant que Moïse priait sur la montagne, les bras levés vers le Ciel, les armées qui combattaient dans la plaine remportaient la victoire. » 1747

« Pourquoi emploierais-tu de longues phrases et des mots difficiles pour Me parler ? Prends ce qu’il y a de plus simple dans ton cœur, comme avec les tiens, tes intimes. N’en suis-Je pas ? » 1766

« Pense bien à Moi, Ma petite Fille, pense bien à Moi, avec si peu, tu Me donnes tant de joies. Tu comprends, tes occasions de liberté n’existeront plus au Ciel : Ici, tu peux choisir : être pour toi, ou être pour Moi…Tu trouves, peut-être, que c’est peu d’importance, cette très petite pensée qui vient Me rejoindre ? Moi, Je trouve que c’est la modalité de toute une vie. La pensée, c’est le regard de l’âme. Que la tienne soit naturelle, chaude et fréquente. » 1768

Sur la banquette en face, quelqu’un faisait des mots croisés.

« Pourquoi n’emploierions-nous pas ce même temps à croiser des mots d’amour ?

Quand tu pries pour les pécheurs fais comme si tu étendais la main droite pour M’aider. »

Dans le Métro.

« Mais oui, cela Me fait plus de plaisir. Quand tu approches de Moi dans ces foules, que quand tu es dans ta chambre. Les foules de Paris, Me laissent Seul,  comme si J’étais toujours mort. » 1769

« Quand tu Me viens, viens-Moi rapidement, une sorte d’enthousiasme, qui est le cœur de l’amour » 1772

« Ne sens-tu pas que tu dois Me crier ton besoin ? Ne comprends-tu pas que Moi, J’ai besoin de ce cri de toi ? Je suis là, avec des trésors. Si tu ne Me les demandes pas, puis-Je te les donner ? » 1773

« Et pourquoi ne viens-tu pas à Moi aussi gaiement que lorsque tu rencontres un ami très cher ?» 1782

« Ce ne sont pas tant les paroles que dit l’enfant, que l’enfant les disant. Crois cela. Et tu t’adresseras plus sincèrement, plus gaiement, (vois comme, souvent, Je répète ce mot), à Moi, parce que tu sauras mieux que tu Me fais plaisir. » 1786

« Souvent, une pensée de vous, c’est un cri que J’écoute.  Ah ! criez souvent, afin que Je vous exauce, Mes bien petits. » 1786

« Et si tu tiens tout de Dieu, appelle-Le sans cesse afin qu’il se meuve et parle en toi comme la boule du grelot, le souffle de la flûte, ou la vibration de la harpe. » 1787

« Dis-Moi souvent : « Seigneur, je crois, mais augmentez ma Foi », et Je l’augmenterai. Tu penses bien que Je fais attention à ce que vous Me demandez : Mon oreille est posée sur vos lèvres avant même que vous Me parliez. Et que dire de Mon Cœur ! Tu n’as pas sur terre quelqu’un capable de t’écouter aussi avidement. Aucun autre cœur ne saurait comme le Mien conserver ce que tu dis, compléter ce que tu dis, embellir ce que tu dis. » 1788

« Quand tu es à Mes pieds, priant ou contemplant, pourquoi ne pas t’unir à toutes les âmes saintes qui prient et qui contemplent ? » 1792

« Mais, prie ! Oh ! comme il faut demander le salut des âmes! tous ces petits instants que vous n’employez pas, donnez-les Moi pour vos frères en danger, Unis-toi avec ceux qui prient sur la terre,(…) » 1800

« Songe qu’il y a, en cet instant, dans le monde de Mes créatures chéries qui veulent M’être totalement étrangères… Prie pour elles, si pauvres ! avec les richesses que tu as reçues, précisément pour aider les autres. Oh ! penses-y ! Prie pour elles comme si tu priais pour le Christ. » 1804

« Pourquoi Je te demande de prier ? C’est que la prière met la Grâce en activité, comme un cierge qu’on allume. » 1807

« Ne soyez pas timides : si vous Me voulez, dites-le-Moi ; c’est-à-dire, priez, enfoncez-vous bien dans Mon Souvenir, et parlez-Moi dans un regard direct. C’est cela, la prière. Celle qui demande. Celle qui loue et remercie. Celle qui aime. » 1807

« Sois comme ces humbles qui exposent leur misère, et comptent que leur Christ les métamorphose à chaque aveu, parce qu’il entend le cri du regret et qu’il en fait l’hymne de Sa gloire. » 1809

« Viens M’acheter de l’Amour parfait à Moi qui en possède, tu Me l’achèteras avec des désirs, avec des prières, dans une grande intimité. » 1812

« Un joyeux merci de votre part M’apporterait tant de joies qu’elles déclencheraient de nouveaux dons. Oh ! pensez, le soir, à entrer dans Mes bras, le cœur débordant de reconnaissance. » 1817

« Chaque âme a sa façon de demander : que la tienne soit chaude et longue, joyeuse comme déjà exaucée, affectueuse, comme sûre d’être aimée, charmante, parce que pleine de Mes dons, généreuse, comme toujours, pénitente, audacieuse, parce que tu demandes en Mon Nom…Et Moi, Je t’entendrai avec tant de joie,(…) » 1831

« As-tu confiance en Moi ? Alors, demande-Moi, avec assurance, toutes ces choses que seule tu ne peux pas atteindre. » 1835

« Moi, devant vos ténèbres et vos langueurs, quand vous M’implorez, Je M’arrête toujours. » 1835

« Quand tu M’appelles, Je suis là. A peine as-tu dit Mon Nom, que Je l’ai entendu… » 1837

« Quand toute la terre aura prononcé son amour, Dieu régnera et les temps s’accompliront. Mais il faut prier. Tu ne sais pas encore la force de la prière : c’est comme un bras puissant qui viendrait aider le Mien. Car Je permets qu’on M’aide. » 1840

« Nommez-les-Moi souvent, vos protégés, vos incrédules, vos sourds-muets… Je les recouvrirai de Ma robe sans couture, toute sanglante. » 1845

Comment dire le Chapelet ou le Rosaire ?

Commencez par le signe de la Croix, puis suivez les différentes étapes du schéma ci-dessous.

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