« Considère-toi parmi tous comme la dernière, t’unissant ainsi aux sentiments de Ma Mère. Tu veux bien ? Oh ! le beau bouquet qu’avec fierté je poserai sur Mon CŒUR : le bouquet de Ma petite fille ! » 1412

« J’étais pour toi en n’importe quel moment de Ma vie. J’étais venu par amour et vous sauver par amour. Tout ce qui remplissait Mes jours, était dans votre but. Toi, ne fais rien en dehors de Moi. » 1414

 « La joie. Dilate ton âme. La joie M’honore. Elle naît de Ia confiance. Elle M’attire. Le CŒUR, elle s’unit à Mes joies du ciel qu’elle rejoint. Habiter ensemble … » 1424

« L’Esprit prend le langage des petits. N’était-ce pas sous Son influence que Ma très humble Mère répondit à l’Ange : ‘Voici Ia servante du Seigneur’. Même en tes balbutiements, même en tes soupirs Il Me parlera. » 1437

« C’est surtout votre intimité que Je cherche : être toujours avec vous, en quelque état que vous soyez. Être surtout dans la pensée habituelle de vos cœurs, pour Me consoler… » 1444

« Oh ! Mes chères images qui cherchez à Me rendre ce que Je vous ai donné : la Vie. Oui c’est la vie qu’en vous J’aime trouver. Intensifie toujours davantage ta vie intérieure. Elle est à Moi. Ne M’en prive pas, ne M’en prive jamais. Demande-Moi de t’y aider. » 1444

« Servante d’amour : sois cela. Tu sais comment on appelle une servante d’amour ? On l’appelle : «sa bien-aimée ». 1462

« Sois la fidèle petite servante qui travaille d’autant mieux qu’elle a de temps en temps des entretiens secrets avec son Maître plein d’amour. Ce n’est pas un amour comme celui de Ia terre. C’est un Amour de flamme et de feu. » 1471

« Au début de la création, Dieu se promenait dans les jardins du Paradis terrestre et conversait avec vos premiers parents : c’était Dieu et c’étaient des hommes. Maintenant, c’est à la fois Dieu-Homme qui est en toi, plus près encore puisqu’Il a pris la nature humaine. Quelle union ! » 1494

« Vise à n’avoir chez toi rien qui puisse déplaire à Mon Regard, mais des respects pour Ma Majesté, des reconnaissances pour Ma Bonté, du zèle et des désirs pour Ma Gloire, des pitiés pour Mes souffrances, des affections pour Mon amour, des tendresses pour Ma consolation. Et tu M’inviteras souvent. Et le son de ton invitation serait déjà une allégresse pour Mon CŒUR. » 1502

« Pense bien à Moi quand tu parles aux autres, afin que te quittant toi-même, tu trouves plus d’onction à donner comme un parfum qui se répand et ignore qu’il parfume. » 1403

 « Puisque le deuxième Commandement est aussi grand que le premier, ne regrette pas de Me quitter pour aller au prochain ? N’est-ce pas Moi qui te l’ai préparé ? » 1404

 « Rappelle-toi : faire tout le bien possible le long de son chemin à cause de Moi, pour Moi, et non à cause du bien. Oh ! L’amour !… Mets-en partout. » 1420

 « Quand tu trouves un mot charmant pour ceux qui t’entourent, n’est-ce pas pour eux comme le réconfort d’un rayon de soleil. En contraste avec les mots aigres qui rendent la vie triste. Et Je compte sur toi pour embellir la vie des autres. Tu le peux par les dons que Je t’ai offerts. » 1423

 « La charité pour le prochain, c’est La charité pour Moi. Rappelle-toi bien cela : si tu ne peux Me trouver à l’église, tu peux Me trouver dans les autres : Moi, toujours. » 1455

« Tu sais que la preuve de l’amour de Dieu, c’est le soin affectueux que tu prends de ton prochain. Crois Me voir en lui, Me charmer quand tu le charmes. Alors, tu restes humble près de lui. Toujours, sois Ia plus petite : pense aux dimensions de l’Hostie. Applique-toi, dès aujourd’hui, à t’adresser à Moi en parlant au prochain. J’attends cela de toi, cet après-midi à cette réunion d’amies… » 1511

 « Quand tu rends service aux autres, que ce soit bien pour Moi ! et non par amour de l’amabilité. Purifie, aiguise ton regard, fais tout pour assurer notre intimité. » 1453

« Je cherche à enlever toute distance. Ô âmes bien aimées, venez à Moi plus simplement. Toujours Je te donne cette comparaison du petit enfant qui jette ses deux bras autour du cou de son Père. Faut-il tant de cérémonie pour L’aimer ? Le remercier ? Et ne vois-tu pas que le Père lui donne plus de tendresse qu’il n’en reçoit. » 1414

 « Désire être la douceur de Mon COEUR. » 1460

 « Prie. Donne l’exemple d’une aimable charité. Tu te rappelles comment ma Mère et Saint Joseph furent bons pour tous ceux qui les reçurent pendant leurs voyages ? Longtemps après, on se souvenait de leur passage. C’était comme une traînée de grâces […]
Donne-Moi en te donnant. » 1468

 « Donne-toi à Ma Mère sans retour, comme son petit JESUS… Et pense à ton rôle : te tenir dans la foule comme seule. Sois seule avec Moi. Rien n’existe que Moi. » 1461

 Est-ce que je peux t’appeler mon Seigneur ? « Bien sûr, puisque Je suis à toi ! » 1503

 « Me prendre et M’offrir à Moi-même, avec toute la confiance que J’attends toujours de vous. Puisque Je suis vôtre, vous êtes riches. Vous n’êtes misérables que quand vous comptez sur vous-mêmes et entendez n’agir que par vos propres forces […] Ne doute jamais de Moi. Je n’ai acquis Mes Mérites que pour vous les donner. » 1518

« Consacre-toi de nouveau à ton Grand Ami. Dis : ‘Je pose mon front sur ton front, mes mains sur Tes mains, mes pieds sur Tes pieds, et mon pauvre cœur sur Ton COEUR d’Époux. » 1401

 « Prends dans Mon Amour et offre Mon Amour comme tien, à l’Amour que Je suis. Parce que tout, Ma petite fille, tout de Moi est à toi. » 1440

 « Parce que Je te donne Mes secrets, J’attends les tiens. Oui, Je sais ta grande confidence : ‘Seigneur, je ne Vous aime pas comme je voudrais Vous aimer : donne-moi le moyen de T’aimer davantage !… Cette souffrance de ne pas M’aimer est assez, offre-la-Moi en pur hommage direct de ton cœur ! Offre souvent. Ne te lasse pas. Je guérirai cette pauvre souffrance de toi. » 1445

 « Sois perdue en Moi et ne cherche pas à te retrouver. Oh ! Combien Je sais te garder quand tu te donnes à Moi ! Sais-tu te donner ? » 1453

 « Tant de païens ! Tant de fidèles infidèles !… Et offre-toi pour Me les gagner. N’aie pas peur de t’offrir. » 1456

 « Tu ne peux pas savoir la tendresse que J’ai vouée à ton âme depuis si longtemps… depuis toujours… Je te demande donc de ne pas Me juger exigeant quand Je suis si souvent porté à te dire : ‘Donne-Moi tout !’ » 1460

 « Enfant, donne-Moi ta vie ! » Seigneur, vous l’avez déjà ! « Je la veux sans cesse, comme un jet ininterrompu, comme une symphonie sans fin. Tout effort sera pour Moi. » 1466

« Tu feras le premier effort et Je viendrai à ton aide. Surnaturalise tout, en M’offrant tout. Combien tu seras heureuse, puisqu’enfin tu auras trouvé le vrai sens de la vie. N’entends-tu pas Ma voix ? Jour et nuit, elle te dit : Viens. » 1480

 « Livre-toi, non à toi, à Moi, et avec cette joie qui Me fera tant plaisir… Que ne te donnerai-Je pas en échange ? Sais-tu Dieu dans Ses largesses ? Et parce qu’Il a déjà donné, ne crois pas qu’Il s’arrête. » 1481

« La volonté. Comprends que tout mérite dépend bien plus de la volonté que du sentiment. Le sacrifice que tu en fais est une gloire pure pour le Père […] Réjouis-toi d’avoir pu Lui en faire le don. Donner de la gloire à Dieu, malgré notre petitesse, n’est-ce pas là une invention divine ? » 1484

 « C’est de l’amour que Je te demande, dans tes plus petits instants. Tu n’y attaches pas d’importance ; mais, pour Moi, les choses minimes sont grandes. C’est l’amour de Mes enfants… Songe donc ! Je te tends la main. Remplis-la des toutes petites actions ; des fugitives pensées et impressions ; des petits bons désirs ou petites souffrances. » 1516

Dans la maison sous la neige : « J’essaie d’être tout près de Toi, mon Amour. Mais ce n’est pas comme à l’église…

« Ce n’est pas comme à l’église, mais c’est quand même la Présence de Dieu : C’est la Veilleuse de ta vie. Et si tu y crois fort, quelle consolation, et pour Moi, et pour toi. » 1417

 « Viens à Moi, vivante de joie, de sérénité et de tendresse. Tu transformeras nos rapports ; c’est un effort de toi, mais combien doux… tu ne trouves pas ? La vie de famille. C’est toujours, tu vois, l’intimité que Je cherche en vous. » 1426

 « Que veux-Je ? Sinon toi toute ? tu comprends : toute ? Alors, il ne faut pas Me refuser ; rien. Essaie d’être celle que Je veux. Celle qui Me tient compagnie dans son cœur joyeusement, et ne Me quitte que pour Me retrouver dans les occupations du devoir d’état. Je suis partout pour celui qui Me cherche. Il vit de Moi, tout en vivant pour Moi. Je le possède pour qu’il Me possède. Comment saurait-il tout seul ! » 1467

 « N’es-tu pas heureuse quand tu M’appartiens ? As-i tu rencontré ailleurs une douceur plus grande ? Avec Moi, n’es-tu pas chez toi ? En famille ? […] Que ton souci soit donc d’être tout près de Moi et des choses » de Moi : Ma Gloire, Mon Règne, Ma Volonté, Ma faim des âmes, Mes plus délicats désirs. » 1504

 « Oh ! Ma fille, souvent, Je te dis : ‘Ne Me laisse pas seul !’ Toi qui as plus reçu, donne. Toi qui as mieux compris, vis à coup sûr de cette vie cachée, qui dépasse toute autre vie, et qui est pleine de mérites à cause de sa Foi. » 1505

 « A vous Je demande vos plus ordinaires actions : le manger, le boire, le dormir, le travail, toute votre journée unie à Ma journée d’autrefois, vos actions trempées dans Mon Sang et revêtues de Mes mérites. Ce n’est pas difficile. » 1520

« Détache-toi de toi. Adopte-Moi ; Moi, ton père, ton Centre, ta Source, Celui qui te meus et en qui tu respires. Moi, l’Amour. Et pour rester présente à Ma Pensée, fais tout pour Ma volonté amoureuse » 1544

 « Inspire-toi toujours de Moi. Unis-toi à Moi, et crois que cela Me fait plaisir. Ne suis-Je pas venu pour M’unir à vous ? Pour ne faire qu’un seul être ? » 1561

« Mes amis intimes, pourquoi ne M’appellent-ils pas plus fort dans leur vie intérieure ? Si leur foi était moins près de l’incrédulité ! Si leur espérance comptait sur Mon secours ! Et si, simplement, leur amour M’aimait mieux, Je présiderais à tout dans leur jour, et quand la nuit viendrait, leurs yeux se fermeraient encore sur Mon visage. » 1436

« Combien j’ai besoin que tu sois sûre de Moi ! Sens-tu Mon zèle ? Allume ton zèle à Mon zèle, demande tout par Ma Mère si bonne, si attentive au soin de vos âmes… Si tu savais ! Tu ne la connais pas assez. » 1461

« Pauvres brebis que le pasteur est allé chercher si loin qu’il a laissé fuir son sang goutte à goutte jusqu’à la dernière. Et quand cela a été fini pour Lui sur la terre, Il a trouvé moyen de rester près d’elles jusqu’à la fin du monde. Prie pour celles qui ont peur. Comment peuvent-elles ? Est-ce qu’on a peur d’un Pasteur si bon ! » 1412

« Prends et lis. Prends dans mon CŒUR et lis l’Amour. Tu sais lire l’amour ? Avec les yeux du
désir ardent et de la plus aimable simplicité, éclairés par Ia mémoire de ce que J’ai dit à travers les Prophètes, L’Évangile, à travers Mes amis intimes. Lis l’Amour, et lis l’appel, car il n’y a pas d’amour sans appel. Un appel, c’est comme les bras éterdus pour saisir. » 1467

 « N’ai-Je pas été votre frère ? Est-ce que Je ne connais pas la nature humaine ? Et la vie d’un homme sur la terre ? […] Tu oublies que J’ai travaillé, peiné, souffert du froid, de la chaleur, de la faim, tout comme vous… » 1473

 « Tu sais bien que Je te reposerai sur Mon CŒUR parce que Je suis le très doux pasteur. Ce qu’il faut surtout, c’est I ‘union de nos deux volontés : ‘sur la terre comme au ciel’. » 1487

« Songe quelques fois à Mes pensées, Je parle de celles de Mes années sur Ia terre. Sers-t’en. Empare t’en. Que souvent elles prennent Ia place des tiennes en même circonstance. Tu M’honoreras. » 1489

« Je désire si fort la pensée continuelle de vos cœurs, que J’ai pris dans Ma vie terrestre toutes les formes de peines ou de gloires, pour Me l’attirer. Vous avez, en lisant l’Évangile, le choix sur quoi poser votre regard : Mes miracles, Mes pitiés pour les pécheresses, Mes austérités, Mes appels aux choisis, Mes silences, Mes prières, Mes luttes avec Mes adversaires, Ma fermeté et Ma constance, Mon zèle au service de Mon Père, Ma charité pour les hommes, Mes frères, Mon souci de les sauver, Mes angoisses […] » 1503

« Prenez une page de Ma vie, le matin, enfermez-Ia dans votre mémoire ; qu’elle vous tienne compagnie tout le jour, vous inspirant l’amour fidèle, l’imitation de JESUS-CHRIST. » 1503

« Être un autre JESUS-CHRIST : vise à cela. Ce sera le parachèvement de l’intimité. » 1503

« Prête-Moi ton corps quand tu voyages, quand tu peines, quand tu manges et quand tu dors. J’ai fait tout cela quand Je vivais parmi les hommes. Fais- Moi vivre encore parmi eux : et il faut qu’ils s’en aperçoivent. » 1519

« C’est à l’union que tu dois tendre. Y penses-tu assez souvent ? […] T’unir à ton Dieu ! […] T’unir à ton Dieu-Homme. Celui-là qui a vécu sur la terre comme toi ; qui est descendu du Ciel pour gagner l’union des cœurs des humains reconnaissants. » 1531

« Sais-tu regarder ton Grand Ami comme Il te regarde ? Aucun geste de toi ne Lui échappe. Oh ! tiens-toi, tiens-toi davantage en Sa chère Présence ! C’est une amoureuse Présence. » 1473

« Crois à l’Amour de ton Père et Seigneur !… C’est si difficile ? […] Mets-toi bien en face de Mon Visage. Comprends Ma Miséricorde infinie penchée sur le cœur qui Me cherche : n’arrête pas de M’appeler !» 1477

« Ouvre tes yeux sur Ma FACE. Essaie de comprendre. Recueille. Tout était pour vous. Pour toi. Comme une lettre d’Amour que Je t’aurais écrite avec mon Sang et qui ne te serait parvenue que longtemps après. Mais Je suis toujours vivant, et c’est toujours le même Amour. » 1511

« Rayonne le Christ autant que tu le peux. Compte sur Moi. Veux-tu aussi que Je compte sur toi ? » 1544

« N’aurai-Je pas ton regard intérieur ? Plein de joie et de tendresse ? Tu Me le donnes souvent. Je le désire davantage et Je le guette. Penses-y. Souviens-toi de Moi. Que chaque heure qui sonne t’amène sur Mon COEUR. » 1544

« Hostie, sois cela. Elle est dans le tabernacle, seule et priant. Sois chez toi, doucement seule et priant par tes actions unies aux Miennes. De la maison, jette un regard tendre vers Mon sanctuaire : ce sera deux Tabernacles d’où se hâtera l’Heure de Mon Règne. » 1406

« S’ils croyaient bien que Je suis dans Ia petite maison de l’autel, est-ce que tout de même ils ne Me diraient pas mieux leur amour ? Ou, tout au moins, une sympathie ? Et leurs besoins, puisque Je suis riche et puissant. On croit plus facilement à Ma Puissance qu’à Ma tendresse. Et toi ? » 1410

« Tu ne sais donc pas le plaisir que Me font vos petites visites ? Quand c’est vraiment Moi que vous venez voir et non l ‘architecture ou les beautés de l’église. Quand vous Me parlez comme un ami parle à son ami. » 1429

« Cherche-Moi toujours dans l’Hostie. Elle est là pour toi, pour tous. N’aie pas de réticence ; viens, simplement. Remercie avec joie. Aime simplement. Tout est tellement simple avec Moi… » 1439

« N’est-ce pas le jeudi de Ma Fête-Dieu ? Tu comprends, la Fête pour Moi, c’est de donner. La préférée des fêtes, dans Mes fêtes d’amour. » 1444

« Si tu pouvais voir la messe de chacun de tes matins… Pense, au moins, que Je te regarde et que Je t’offre avec Moi, au Père qui est dans les cieux. » 1449

« Toute la nuit Je t’ai attendue dans Mon Eucharistie pour Me donner à toi au matin. Comment t’en étonnerais-tu ? Tu crois à Ma Présence dans le Tabernacle ? Tu crois à Mon immense Amour ? Alors, mets ensemble l’un et l’autre. » 1508

« Ma détresse au Jardin des Oliviers : Je souffre jusqu’à la mort parce que Je vous aime. » 1409

« Je te demande de venir ici faire l’Heure Sainte. Me tenant compagnie en union avec les Anges qui m’entouraient au Jardin des Oliviers. Ils étaient là pour soutenir Mes forces. Sois ici pour soutenir Ma force à demeurer seul. » 1410

Je disais : ‘Seigneur, que Tes yeux qui ont pleuré voient plus jamais mes péchés ! « Voile-les d’un amoureux regret ! » 1470

« Mets-toi en face de Mon Visage. Maintenant, déroule ton âme. Étends-Ia comme un tissu déplié en te rappelant tes fautes. Celles d’hier, celles d’aujourd’hui. Tu Me les montres sans rien dire. Et cependant, c’est une prière. » 1478

« Attache ta pensée à Mon COEUR et à Ses souffrances. Alors il Me semblera que tu prends une partie de Ma peine, que tu compatis. » 1504

« Dans ta solitude, surtout ta solitude où tu es tout à Moi, au jardin, au rouet, remplis-la d’amour. » 1516

Je disais la prière : ‘O bon et très doux JESUS… ils ont percé Mes Mains et Mes pieds… « Contemple, aime ces blessures que J’ai gagnées à ton service. Je dis ‘gagnées’. C’est un gain de Mon CŒUR pour toi. » 1407

« Que diras-tu à ton Grand Ami quand tu regarderas Ses souffrances ? Regarde-les bien, puisqu’elles sont pour toi. Qu’elles sont à toi. Aie l’humilité de t’en recouvrir. » 1431

« Crois à l’Amour de ton Père et Seigneur !… C’est si difficile ?… Quand tu vois sa Croix ? Quand tu te souviens qu’II s’est livré aux méchants ? Lui, le Tout-Puissant, s’est livré ! Quelle force à s’humilier… Quelle preuve de don ! » 1477

« Tu sais bien que J’ai été heureux de souffrir pour toi. » 1509

« Mon Sang, Mon Précieux Sang : tout le mois de juillet lui est consacré, et tu y penses si peu !… Pourtant ce sont des fruits que tu recueilles. » 1530

« Comprends-Moi bien ! Le seul But, c’est Moi […] Le seul but, c’est 1a souffrance, parce que la souffrance, vois-tu, c’est le plus sûr moyens de se rapprocher de Moi, de ressembler à Moi. » 1543

« Si tu vois des rendez-vous manqués avec ton Dieu, humilie-toi sur Mon COEUR. Où t’humilierais-tu si ce n’est là. Habite là, c’est là ton lieu. » 1420

« Quand tu t’humilie au souvenir de tes fautes, J’efface, J’efface… Quoique tu ne sentes pas Mon absolution. Quand, en esprit, tu baises Mes pieds et Mes mains, ce Sang qui en découle te lave plus blanche que la neige. » 1432

« Quand tes yeux Me cherchent dans ton intérieur pour contempler quelqu’une de Mes qualités, Moi, Je te regarde avec encore plus d’amour quoique tu ne voies pas Mon Visage. Pense donc bien que, tout en faisant tout ce qui t’est possible de faire pour Me consoler et M’aimer, ce tout est peu de chose à côté de ce qu’en même temps Je te donne. » 1432

« Heureux détails qui peuvent mériter de si grands biens ! Poussières de vertus qui remplissent Ia vie « ‘ Tu sais ? Les invisibles grains de sable qui composaient l’immense Sahara ? Prends bien le souci des toutes petites choses- Dis-toi : elles sont faites à la mesure de ma petite nature. Et cela te rabaissera. » 1434

« Il faut bien se garder d’être satisfait de soi. Mais, souvent, contemple ta misère et raconte-la-Moi, telle que tu la connais. Alors, combien Mon COEUR se sentira pressé de t’aider puisque tu seras toute petite, toute faible. » 1436

« Supporte les épines de chaque jour par amour pour Moi. Cela prépare ton âme à Ia vertu héroïque. Tu comprends que l’union à Dieu n’est autre que de faire la volonté de Dieu […] Les travaux routiniers sont d’une grande valeur pour que l’âme qui s’y livre dans Mon affectueuse obéissance. » 1441

« Quand tu t’apercevras que tu as fait mal, tu demanderas le pardon de Mon CŒUR. Il a tout vu, et Il est prêt à oublier parce qu’Il écoute tes mots d’humilité désolée. Oh ! La force de la contrition : le sacrifice qui Me plaît, c’est une âme brisée de douleur, et Je ne la rejette point.» 1451

« La voix du juste s’élève pendant le jour et pendant Ia nuit ? Quel est son cri ? Sinon celui de l’humilité ? Tu vois que même tes écarts peuvent te rapprocher de Moi. Sers-t’en pour en faire de l’amour réparateur, de l’amour de contrition. Tout doit mener à l’amour. Et tu Me rencontreras. » 1478

« Ne M’as-tu pas dit que tu voulais M’aider à la Rédemption ? Que ce soit le but de chacune de tes actions. C’était Mon but dans les Miennes. Et nous devons toujours être ensemble » 1410

« Va courageusement. C’est pour Moi qui t’aime, dois-Je dire ‘à Ia folie’ ? Car, c’est vrai, la Folie de la Croix. Tu n’en es pas très assurée. Toujours cette distance que tu places entre Dieu et sa créature. Quand, Moi Je cherche à enlever toute distance […] Venez à Moi plus simplement. » 1414

« L’Époux conduit le pas, pour ne pas que l’épouse heurte son pied […] Veux-tu Me donner le bonheur de te voir suivre Ma méthode ? […] C’est Moi, la Lumière. Ne quitte pas Mon Regard. Sais-tu ce que c’est, un Regard de Dieu ? Tu répareras ainsi tant d’autres regards […] Le pauvre Agneau de Dieu n’est qu’HUMILITE, DOUCEUR, MISERICORDE. » 1465

« Tu veux être humble ? Tu en prends les moyens ? Tu regardes souvent tes faiblesses ? […] Remets-Moi tout toi, dans la plénitude de ta confiance […] Je peux tout. Alors, viens à Moi. » 1493

« Ne Me suis-Je pas conduit en fou, dans Ma folie de la Croix ? […] Espérant que quelques-uns, subjugués par le spectacle d’un sacrifice si complet M’offriraient à leur tour la totalité de leur être intérieur. » 1500

« Simplement crois à l’Amour. Remercie l’Amour.
Aime l’amour. Ne t’occupe que de Lui. N’est-ce pas que c’est le trésor de ton cœur ? » 1409

« J’ai soif. J’ai soif de toi ! » 1411

 « Cette Gloire de Mon Père pour laquelle Je suis mort est maintenant entre vos mains. » 1428 

« Que ton regard découvre Mes feux en fouillant les détails de Ma mort obéissante avec la douceur et l’acceptation de tout Mon Être. Encore pour vous, cette acceptation et cette douceur. » 1481

« Tu sais comment Je vous ai aimés : Je vous donnais tout. Qu’ai-Je gardé pour Moi ? Même pas Ma Mère. » 1480

« Pour réparer, puisque vous avez le pouvoir de réparer, offre-Moi au Père : Lui Seul est votre salut pour Sa gloire, était Mon but constant, et dans le silence de Mon Être, Je brûlais pour Lui. » 1489

« Demande-Moi des conversions avec de l’amour : par 1es paroles d’amour, par les actes d’amour, par les charités d’amour. Toujours à la base, tu mettras l’amour qui, en aucu1l moment, ne doit te quitter. C’est la trame de tes jours. » 1516

« La Foi !… Comme c’est simple et bon… Remercie –
Moi de te l’avoir donnée. Travaille à l’augmenter : ce sera comme si tu Me faisais grandir en toi. » 1357

« Dis-toi : quelqu’un est là, près de moi. Quelqu’un de vivant, c’est Dieu ! » 1400

« N’est-ce pas que te savoir aimée à ce point te console ? Te fait vivre ? Qu’est ta vie ? Si Je ne suis pas le But ? […] Exerce ta Foi ! » 1410

« Dans le Ciel, tu Me posséderas sans M’appeler. Mais maintenant, prends ce charme de Me prouver ta Foi par tes désirs de Moi. » 1418

« Vis de foi ! Ne sois pas de ceux qui disent :’Seigneur, Seigneur…’ et qui s’évadent de l’esprit chrétien. Ne te blase pas de Mon Amour, puisqu’il est toujours nouveau. » 1455

 Comment croire, Seigneur « Avec ton cœur. Car si Je suis souvent une Joie pour toi, admets que beaucoup davantage tu es une joie pour Moi. Penses-y pour mieux t’établir dans Ma Miséricorde infinie, pour être plus assurée de la Bonté de ton Dieu. Bonté parfaite qui ne s’arrête pas. » 1467

« Entre bien dans la profondeur du terme : ton Père. Dieu l’est. Il t’a adoptée par amour. N’est-ce pas l’amour qui fait les adoptions ? Délecte cette douceur d’être cette enfant du Père, d’un tel Père. » 1476

« Est-ce que tu ne vois pas que tu dois tout faire en esprit de Foi ? Foi en Mon actuelle Présence en toi. Foi en l’Amour qui préside […] Travaille à Ia conquête de l’Esprit de Foi habituel. » 1516

« Crois. Et tout devient simple. Ce sera simple de M’aimer, simple de Me servir, simple d’être contente de souffrir pour Moi. Croire, c’est presque voir. Me voir ! Quelle avance, quelle richesse à exploiter, quand tu Me parles, quand tu Me dis que tu M’aimes. » 1540

« As-tu appris à espérer ? M’as-tu donné toute ta confiance ? Fais, chaque soir, le tour de ta journée. » 1420

« C’est ton cœur qui veut s’échauffer près du Mien- Et si tu comprends bien l’Ascension, tu t’efforces de suivre ton Époux et de vivre moins de Ia terre que de la pensée du ciel où Il habite. Ne manque pas de t’unir déjà aux louanges des bienheureux tes frères de demain, dans ton occupation de demain. » 1439

« Si l’Amour s’empare de toi, tu t’engages dans le chemin rapide, car l’Amour n’a plus de repos qu’il n’ait rejoint son Bien-Aimé. » 1450

« Quel ne serait pas ton enthousiasme à vivre pour Moi cette vie qui te paraît si longue, mais qui n’est rien, vue de l’Éternité. Ah ! Si tu pouvais sentir Ia chaleur de Ma tendresse… » 1516

« Mets en Moi toutes tes possibilités de confiances et d’espoirs, tu M’honoreras, et Je répondrai à chacun de tes appels. Moi Seul sait vous répondre. Moi Seul sait vous satisfaire.» 1540

Je disais à l‘Esprit : ‘Parle pour moi au Père’ et Notre-Seigneur répondit : « C’est Lui qui parle en toi au Père. » 1416

« Je te demande d’entrer beaucoup de fois par jour dans la cellule des secrets, dans le cénacle des échanges. Quand tu M’auras tout dit, tu demeureras dans le silence, toujours sur Mon COEUR. » 1418

« Demande à l’Esprit de planer sur toi, comme Il planait sur les eaux […] Par toi-même, tu n’es que chaos. » 1437

« Possédée par l’Esprit, que Me diras-tu sinon des mots d’amour ? Dis-Lui, à Lui qui est Amour, de parler par toi. Ne crois-tu pas que ce sera de la manière la plus simple et la plus délicate ? Car l’Esprit prend aussi le langage des petits. » 1437

« Rappelle-toi quelles harmonies émanent d’un seul accord d’orchestre. La louange que tu voudras Me donner et que tu ne sais pas dire, le Saint Esprit la complétera. Parce qu’il y a une traduction invisible aux prières, aux désirs, aux tendresses des âmes. » 1437

« Fais bien la neuvaine de la Pentecôte, unie à Ma Mère et aux saintes femmes dans le Cénacle. Non pas tant pour être consolée par le Consolateur, mais pour qu’Il t’apprenne à Me consoler. » 1439

« Comprends-tu bien qu’il faut des épreuves dans la vie spirituelle… La vie à deux… La vie de la terre n’est pas encore la vie du Ciel. C’est l’amour en commencement. L’amour grandit dans l’épreuve. Même dans les toutes petites épreuves il grandit. Mais l’amour ne s’en aperçoit pas. » 1474

« As-tu mieux compris I ‘intensité d’amour que Je demande ? L’intensité d’intimité ? L’intensité de Foi en Ma Présence en vous ? » 1483

« Est-ce l’amour qui est la cause de tes actes ? Est-ce l’amour qui forge tes pensées ? Peux-tu me dire que les battements de ton cœur, c’est encore de l’amour ? Vivre pour un autre, vivre pour son Dieu, tu comprends, c’est plus doux que de vivre pour soi… »
« Est-ce que tout chrétien ne Me prolonge pas ? Je veux entretenir Mon Feu en toi, non pas pour que tu brûles seule, mais pour que tu propages l’incendie secret. Combien Mon Père en sera glorifié ! » 1507

« Pourquoi t’inquiéter tellement de l’opinion ? La Mienne ne te suffit pas ? Si tu es avec Moi, laisse dire. Prends ta place sur Mon épaule et oublie tout… Ne sais-tu pas quand tu marches dans Mes pas ? Quand tu veux Mon plaisir ? A ce désir de Me plaire en tout temps, tu peux te juger. Et crois bien que ce désir ne viendra pas de toi, mais de l’Esprit qui est en toi, dans le temple de toi en grâces.» 1509

« Appelle à ton aide l’Esprit d’Amour. Demande à Ma Mère de te montrer. Elle, dont la pensée ne m’a pas quitté. » 1532

« Demande-Moi la science de l’Amour de ton Dieu, de celui qu’Il te donne et de celui que tu Lui dois. » 1538

« II y a bien des sortes d’amour. Je suis dans tous les amours. Ne crains pas d’en inventer. Ce sera toujours vrai : l’amour a tous les beaux visages. » 1549

« Chaque âme a sa façon d’aimer, ne me prive pas de la tienne. Je ne confonds rien. Je goûte vos spéciales manières. » 1553

« Ne sois pas étonnée que Je t’aie suggéré de demander inlassablement la MISERICORDE, I’HUMILITE, la DOUCEUR. Ne sont-ce pas là les signes distinctifs du COEUR de ton Époux ? Ne dois-tu pas chercher à Lui ressembler ? Ne serais-tu pas plus heureuse si tu possédais ces vertus ? Et ne cherche-Je pas toujours ton bonheur ? » 1421

« Ce n’est pas par hasard, c’est bien Ma volonté que tu cherches à acquérir ces trois qualités si rares et si douces. Ô douce douceur ! Ô douce humilité ! Ô douce miséricorde ! Demande-les à Ma Mère. Offre des sacrifices pour les posséder. » 1421

« Moi, J’ai besoin de tous mes élus. […] Vis bien pour le Règne de Dieu. N’allègue pas ta petitesse’ Toute créature peut y travailler. » 1428

« Entre dans le parvis. Implore le secours de Ma Mère. Pénètre plus loin. Sois une séparée des choses.  Avance dans l’appartement le plus secret. » 1437

« Tu vois bien ce qui fait la sainteté, c’est la fidélité et Ia délicatesse de conscience dans la vie d’étroite intimité, dans l’amour qui s’étend toujours plus parce qu’il considère Mes perfections. » 1472

« Moi, Je suis l’infini. C’est pour l’infini que Je vous ai créés. » 1486

« Le Ciel, c’est l’union, ton esprit dans Mon Esprit. Commençons… » 1487

« Quand tu auras compté sur l’appui de ton Dieu, tu verras avec étonnement ta marche en hauteur : tu sais que J’existe, et tu sais que J’agis. » 1535

« Gloire, honneur et bénédiction à notre Dieu trois fois Saint. Que de variations sur ce thème… La vie du Ciel !… Regarde-la bien souvent, puisque c’est celle de demain. » 1345

« Soigne ton arrivée dans l’autre monde… Apportes-y ton souci de tout instant. Soigne ta parure, tu ne seras jamais trop belle. Emprunte à tous ceux qui t’aiment tant leurs plus beaux diamants : Mes Mérites, ceux de Ma Mère […] Ne reste pas seule. » 1348

« Vis en Moi qui t’aime. » 1365

« Prie, travaille, fais toute chose pour que le beau Règne arrive ! » 1384

« Être ensemble ! […] Chante ton cantique sans paroles et J’élèverai ta voix. Quelle ne sera pas la Joie du Père… Cherchons son Règne et sa Gloire à tout instant de notre vie : Je dis « notre », car ta vie, c’est la Mienne prolongée. » 1389

« Quand mettras-tu ton front dans l’Eternelle Pensée ? Souviens-toi que ton Père Créateur est dans les Cieux, que ton Sauveur t’attend aux Cieux, que l’Esprit qui te régit est dans les Cieux, que ta Sainte Mère est là. Elle connaît la demeure que tu dois occuper [..,] Alors, lève la tête » 1449

« Ravive tes désirs de Me rejoindre […] Envisage la terre comme rien, sinon comme le moyen de payer la Rencontre, dans le secret de notre Demeure. Marie t’attends et Je t’y attends. » 1459

« Donner de la gloire à Dieu malgré votre petitesse, n’est-ce pas là une invention divine ? Et puisque cela t’est permis, mets-y tout ton soin. Ne serait-ce que par un Gloria Patri qui peut faire au loin épanouir une conversion, changer l’attitude d’un gouvernant, pacifier des peuples, aider le Pape, étendre l’action des Missionnaires […] Que ne peut faire un Gloria Patri porté par la Miséricorde divine ? » 1484

« Si ce soir Je t’offrais le désir du Ciel ? Le désir de Moi ? Le désir, c’est une soif. » 1525

« Acclame-Moi car Je suis le Saint des saints et l’animateur de leur sainteté. Salue-Moi donc en chacun. Joins ta reconnaissance à la leur. » 1549

« Vis avec les Bienheureux qui ne s’occupent plus que de Ma gloire : que ta conversation soit dans Le CieI, afin de commencer demain. » 1550